Les socialistes impuissants détournent l'attention sur la droite
ne fait-il pas froid dans le dos ?
La famille Peugeot, ciblée par Montebourg
La famille Peugeot s'indigne du procès instruit contre elle
Elle dit avoir "toujours donné" priorité au groupe (PSA) premier actionnaire de PSA Peugeot Citroën et mise en cause par le gouvernement. "La famille Peugeot a toujours donné la priorité au développement du groupe et à sa stratégie, n’hésitant pas à diluer sa participation quand la situation le requérait", selon un communiqué de PSA Peugeot Citroën. "La famille Peugeot s’est toujours efforcée de suivre les opérations financières destinées à soutenir la stratégie du groupe", ajoute le communiqué, alors que le gouvernement s’interroge sur l’action de l’actionnaire historique du groupe.
Elle dit avoir "toujours donné" priorité au groupe (PSA) premier actionnaire de PSA Peugeot Citroën et mise en cause par le gouvernement. "La famille Peugeot a toujours donné la priorité au développement du groupe et à sa stratégie, n’hésitant pas à diluer sa participation quand la situation le requérait", selon un communiqué de PSA Peugeot Citroën. "La famille Peugeot s’est toujours efforcée de suivre les opérations financières destinées à soutenir la stratégie du groupe", ajoute le communiqué, alors que le gouvernement s’interroge sur l’action de l’actionnaire historique du groupe.
Mardi, le ministre du Redressement productif, Arnaud Montebourg a commencé à recevoir toutes les parties prenantes au dossier PSA, à commencer par les syndicats, mais multiplient en réalité les attaques contre la hiérarchie et la stratégie du groupe. Il a déclaré qu’il allait ..."inviter" la famille Peugeot pour lui parler du pays et exiger en fait des explications. Résolument hostile, il désigne ainsi le responsable, selon lui, le principal actionnaire de PSA Peugeot Citroën: pas de présomption d'innocence pour les Peugeot ! "Je ne manquerai pas de les inviter au ministère pour que nous puissions en discuter", a lancé Montebourg, lors de la séance de questions au gouvernement.
A la CGT, dont l'objectif est "zéro licenciement" et "pas de fermeture d'usine", les amis communistes de Mélenchon se sont montrés moins confiants dans l'aide du gouvernement.
"On ne peut compter que sur nous-mêmes", a réagi Jean-Pierre Mercier, délégué CGT. En annonçant 8.000 suppressions de postes, "PSA a mis la barre très haut pour obtenir ce qu'ils veulent. On va s'en tirer peut-être avec 6.000, 4.000, et cela ne nous satisfera pas", ajoute-t-il.
Mercredi matin sur France Inter, avant de rencontrer en fin d’après-midi, Philippe Varin, le président du directoire du groupe privé, le redresseur improductif s'était un peu calmé, en apparence: "je veux savoir ce qu’il [l’actionnaire de référence] veut faire" dans ce groupe qui est un "symbole national". Le ministre socialiste en appelle au nationalisme: " " la nation doit se rassembler autour du sauvetage et de la défense de Peugeot Citroën." Faut-il que le matamore soit dépassé !
Le ministre a aussi reproché à PSA d’avoir versé 250 millions d’euros de dividendes à ses actionnaires, donc aux membres de la famille.
Aucun dividende n’a été versé à la famille en 2009, 2010 et 2012, riposte le constructeur et en 2011 il s’est élevé à 78 millions d’euros, "à rapprocher des 133 millions d’euros investis" dans l’augmentation de capital.
La famille dément aussi pratiquer l’évasion fiscale
Elle précise que tous les membres travaillant pour PSA "habitent en France et payent leurs impôts en France". Peut-on en dire autant de la dernière recrue du PSG dont les impôts sur le revenu sont payés par le ...club !
PSA Peugeot Citroën, premier constructeur automobile français, a provoqué une vive colère du gouvernement et des syndicats la semaine dernière en annonçant un plan de suppression de 8.000 postes et la fermeture programmée du site d’Aulnay-sous-Bois près de Paris.
Les créateurs d'emploi et de richesse dans le collimateur socialiste
La famille Peugeot contrôle 25,4% du capital du constructeur et 38,1% des droits de vote via deux structures, Etablissements Peugeot Frères (EPF) et Société Foncière, Financière et de Participations (FFP).
Les députés de la majorité agressent la droite
Jusqu'à provoquer des interruptions de séance. Ainsi, le président du groupe écologiste François Goullet de Rugy, a-t-il critiqué le "Copé comedy club." Il a reproché à l'UMP d'être dans une stratégie d'opposante et c'est cet allié des ex-opposants socialistes qui considère que la nouvelle opposition fait de l'obstruction. Il n'a pas supporté les interventions de Jean-François Copé, Christian Jacob, Xavier Bertrand, Eric Woerth, Laurent Wauquiez dans un débat qui vise à défaire ce qu'a fait le gouvernement Fillon. De Rugy avoua au passage que s'il avait lieu en séance de nuit, c'est que la majorité de gauche vertueuse spéculait sur le fait qu'il aurait moins d'écho médiatique.
J.-F. Copé dénonce la "haine, la morgue" de députés de la majorité
Le secrétaire général de l’UMP a ainsi réagi sur BFM TV et RMC à l'attaque frontale du député écologiste, après les incidents qui se sont produits dans la nuit de mardi à mercredi à l’Assemblée nationale, a-t-il dit . Il était interrogé sur les propos de l'ancien adjoint au maire socialiste de Nantes, Jean-Marc Ayrault, et co-président du groupe écologiste François de Rugy, qui avait frontalement stigmatisé les "heures supplémentaires" de Jean-François Copé, dans un cabinet d’avocat d’affaires.
VOIR et ENTENDRE ce que le Nouvel Observateur, dirigé par Laurent Mouchard-Joffrin, appelle le "clash entre Rugy et l'UMP à l'Assemblée" dans son montage maison et ...objectif:
Mais il existe une vidéo de l'agression caractérisée de François de Rugy pour rétablir la vérité.
VOIR et ENTENDRE une version non tronquée et non édulcorée du "stand-up" de l'écologiste de Rugy, en flagrant délit de réchauffement climatique de surchauffe mentale:
La manipulation de l'opinion par la presse socialiste continue de plus belle.
Le député Rugy se fait finalement rappeler à l'ordre et à la décence par le président de séance.
Le président des députés UMP, Christian Jacob, avait demandé des excuses publiques et la séance avait ensuite été levée. "C’est un propos de tribune qui est un peu sélectif puisqu’il (François de Rugy) s’est bien gardé de parler de son ami Noël Mamère (le député-maire de Bègles, en Gironde), qui est avocat également", a remarqué le responsable de l’UMP.
Jean-François Copé s’est déclaré par ailleurs "très inquiet" devant les mesures du gouvernement de Jean-Marc Ayrault qui "portent atteinte à la compétitivité de notre économie".
"Jusqu’à quand on va nier les études qui montrent toutes sans exception que le coût du travail en France est plus important que dans d’autres pays, notamment l’Allemagne ?", a-t-il poursuivi. De nombreux pays européens "ont pris des mesures de réduction des finances publiques, comme nous l’avons fait, nous, et d’encouragement à la compétitivité. Attention. Ce que nous avions initié est systématiquement supprimé au nom de je ne sais quel anti-sarkozysme primaire", s’est-il aussi alarmé.
"Calmons-nous. Vous avez tous les pouvoirs, vous avez tout gagné. Vous n’êtes donc plus à l’heure du règlement de comptes (…) Vous êtes à l’heure de prendre maintenant (…) des décisions courageuses. Je ne les vois pas venir", a-t-il conclu.
Jean-François Copé a souhaité "une vague bleue" pour les municipales de 2014, "comme il y a eu une vague rose il y a un mois".
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