lundi 23 avril 2012

Présidentielle: l'intox des sondages manipulateurs est avérée

L'après-premier tour met en évidence l'engagement politique des entreprises de sondages


Jusqu'à quatre points d'écart mi-avril mais un point et demi à l'arrivée, dix jours plus tard...
 Résumé des intentions de vote au 1er tour de la présidentielle 2012,
selon les entreprises commerciales de sondages:


Le sondage n'est visiblement pas une science et le titre d' "institut" dont ces entreprises s'affublent est une escroquerie.

D'autant plus que les écarts les plus notables semblent bien désigner les sondeurs les plus "impliqués"... BVA (du libéral Michel Brulé, Ipsos (Jean-Marc Lech, bonimenteur aux pronostics souvent hasardeux, sinon totalement bancals, et Didier Truchot, fondateur-manager depuis 1975 qui ajouta le sondage d'opinion au conseil aux entreprises) et CSA (Roland Cayrol, groupe ...Bolloré).
Les libéraux -et le "frère" de Sarkozy- sont-ils suspects de marketing et de favoritisme ? 

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