Juppé : "rien n'est joué, tout est possible"
C'est la question d'Alain Juppé , le ministre français des Affaires étrangères sur TF1, confiant, au soir du premier tour de la présidentielle.
VOIR et ENTENDRE l'ancien premier ministre (1995-1997) de Jacques Chirac:
Ainsi, tous les chiraquiens ont-ils une petite préférence pour le "capitaine de pédalo", comme la propagande de désinformation de la gauche l'affirmait avec insistance, malgré le démenti de Bernadette Chirac ?
"Une très large majorité (...) ne souhaite pas la
victoire de Hollande"
Eric Ciotti, député des
Alpes-Maritimes et secrétaire national de l'UMP à la sécurité, était catégorique au soir du dimanche
22 avril: "une très large majorité" d'électeurs "ne souhaite pas la victoire de
François Hollande", candidat du PS.
"Une majorité des Français ne veut pas des dangers que fait peser François Hollande sur notre pays: droit de vote pour les étrangers, régularisation massive des sans-papiers, recours à la dette et au déficit pour recruter des emplois publics", poursuit-il.
"Nous devons, dans les deux semaines qui viennent, rassembler tous les Français qui ne veulent pas d'un retour en arrière qui serait dramatique pour la France", conclut le député UMP.
"Une majorité des Français ne veut pas des dangers que fait peser François Hollande sur notre pays: droit de vote pour les étrangers, régularisation massive des sans-papiers, recours à la dette et au déficit pour recruter des emplois publics", poursuit-il.
"Nous devons, dans les deux semaines qui viennent, rassembler tous les Français qui ne veulent pas d'un retour en arrière qui serait dramatique pour la France", conclut le député UMP.
Les électeurs du FN feront-ils le jeu de la gauche ou la repousseront-ils?
Tout ceci nous le savons mais que pouvons nous faire pour le contrer?
RépondreSupprimerJe trouve que vous êtes un peu injustes. Les instituts de sondage ne sont pas tombés loin. Qu'ils ne soient pas tombés au "quart de poil", tant mieux, car si on était assez forts pour prévoir exactement le résultat des élections, il n'y en aurait plus besoin. Non, la seule chose où on peut s'interroger, c'est que les performances de la gauche étaient systématiquement un peu surévaluées dans les sondages et celles de la droite, systématiquement un peu sous évaluées. Ce qu'il y a d'étrange, c'est que cela n'ait JAMAIS été dans l'autre sens. Pourtant, avec 10 candidats, statistiquement cela aurait dû se produire...
RépondreSupprimer