mardi 6 mars 2012

Mathieu Kassovitz "salit" la République de ses injures

Kassovitz est une des raisons d'écarter cette gauche totalitaire




Hongrois conspuant la statue renversée du dicateur Staline à Budapest




Un fils de... du cinéma franco-hongrois

L'énergumène de 45 ans est né en 1967 d'une monteuse française et d'un réalisateur juif d'origine hongroise réfugié , Peter Kassovitz.
Si le père connut la dictature soviétique au point de quitter Budapest pour Paris en 1956, c'est qu'il a vécu l'insurrection de Budapest.
Ce fut la révolte nationale spontanée contre la République populaire de Hongrie et sa dictature totalitaire imposé par l'Union Soviétique (URSS): elle dura du 23 octobre au 10 novembre 1956. Le 4 novembre, un important détachement de l'armée soviétique "populaire" envahit Budapest où plus de 2 500 démocrates hongrois furent tués au nom du Peuple. 200 000 Hongrois durent fuir en tant que réfugiés et trouvèrent l'asile politique dans des pays libres.
En janvier 1957, le nouveau gouvernement pro-soviétique musela toute opposition publique. Ces répressions soviétiques furent critiquées par les marxistes occidentaux et renforcèrent l'oppression soviétique sur l'Europe centrale.
En France, les communistes modérés, comme Emmanuel Le Roy Ladurie, démissionnèrent du fait de l'alignement complet du parti communiste français avec son homologue soviétique. Le philosophe et écrivain français, Albert Camus écrivit une
lettre ouverte, "Le sang des Hongrois", dans laquelle il dénonçait l'inaction de l'Ouest. Même Jean-Paul Sartre, un compagnon de route convaincu des communistes, critiqua les soviétiques dans "Le Fantôme de Staline".
En 1992, le président russe Boris Eltsine présenta ses excuses au nom de la Russie pour la répression soviétique de la révolte populaire hongroise devant le Parlement hongrois.

Depuis une dizaine d'années, les réalisations de Mathieu Kassovitz sont des échecs. Ses provocations le conduisent parfois devant les tribunaux.
Le 15 septembre 2009, sur le plateau de Ce soir (ou jamais !), il estime nécessaire de clarifier des aspects des attentats de Ben Laden le 11 septembre 2001, reprenant les arguments de certaines théories du complot. M. Kassovitz est alors très vivement critiqué dans les media. C'est ainsi qu'une chronique d'Europe 1 l'assimile à " la pire extrême-droite antisémite américaine ". Le sectaire riposte en portant plainte pour " diffamation publique " contre plusieurs journalistes.
Le 28 octobre 2009, il participe à un débat de l'émission de Guillaume Durand, L'Objet du scandale, en direct sur France 2, pour défendre son point de vue. En novembre 2011, Mathieu Kassovitz obtient la condamnation d'un blogueur hébergé par le Journal du Dimanche où il était comparé à Joseph Goebbels. France Info et L'Express, dont les chroniqueurs, Patrice Bertin et Renaud Revel, l'avaient respectivement qualifié de " révisionniste " et comparé à Robert Faurisson, sont en revanche relaxés.
Cultivé et intelligent, Marin Karmitz, également présent sur le plateau, s'oppose à son hystérie : " Moi je pense que le conspirationnisme débouche sur quelque chose d'extrêmement grave, c'est le négationnisme, le négationnisme c'est-à-dire les gens qui disent : "les chambres à gaz n'ont pas existé ". Bon. On est dans cette filiation et c'est extraordinairement dangereux » (Le grand direct des media sur Europe 1 de Jean-Marc Morandini, Chronique de Frédéric Bonnaud, 16/09/2009)

En 2011, il réalise l'Ordre et la Morale qui présente une version partisane et contestée de l'assaut des troupes militaires françaises, après l'assassinat de quatre gendarmes et la prise d'otages de vingt-sept gendarmes mobiles en 1988 par les indépendantistes Kanaks sur l'Île d'Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. L'expertise historique du réalisateur n'est pas établie, seul l'est son parti-pris militant.
Mal dans sa peau et rejeté, Kassovitz est une bête fauve aux abois
Psyclologiquement perturbé, il s'agite en faveur de toutes les actions qui lui donnent l'illusion d'exister, fusse au détriment des causes qu'il prétend servir, telle que celle des sans-logis, aux côtés des Enfants de Don Quichotte.
Il apparaît ci-contre à droite au côté d'Augustin Legrand, aujourd'hui membre de l'équipe de l'altermondialiste binationale Gro-Eva Joly

L'autodidacte confus a encore rendu service à sa dernière cible

Kassovitz est-il téléguidé
par ce faux-cul de Hollande ?
Partout dans son sillage
fusent les insultes


Kassovitz a récidivé dans les injures, à l'instar des Mélenchon (candidat des communistes honteux), Brochen-Aubry (PS), Najat Vallaud-Belkacem (PS) et Delphine Batho (PS).

Il a estimé sur Twitter qu'une réélection du chef de l'Etat serait le signe que la France est "un pays de collabo néo-fasciste".
" Si NS [Nicolas Sarkozy] passe un [au?] deuxième [second ?] tour, la France est un pays de collabo neo fasciste. Il faut se débarrasser de ces fils de putes de l'UMP, avec fracas".

Décidément, Mathieu Kassovitz est un grand malade
Le réalisateur de La Haine s'en prend frontalement aux personnes, après le cinéma français, qui l'a repoussé et qu'il a voulu "enculer", via son compte Twitter.

L'insulte est osée, mais la brute épaisse n'est pas lucide

"Traiter ces gens d'enculés n'est pas une insulte. C'est un réflexe naturel ", et le propos très nihiliste, voire simpliste: " À droite comme à gauche ils n'ont aucune solution et nous amènent dans le mur." Version "hard" du credo de Bayrou !
"Voter, c'est faire preuve de lâcheté." Version anarcho-révolutionnaire.

Le faible nombre de nominations aux César pour son dernier film pourtant largement promu et le mépris manifeste de la profession à son égard avaient déjà déclenché sa colère pour le moins imagée: " Une seule nomination aux César. J'encule le cinéma français. Allez vous faire baiser avec vos films de merde ". Version scato-sado.

Manifestement, Mathieu Kassovitz n'a pas envisagé un seul instant que son petit film "de merde", L'ordre et la morale, puisse se faire "fister" !

MDR...

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