Elu régional, Laurent Wauquiez marie l'usine Lejaby d'Yssingeaux
Un maroquinier auvergnat va reprendre le site Lejaby, menacé de fermeture
C'est ce qu'a annoncé Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur aux 93 salariés de l'atelier d'Yssingeaux, en Haute-Loire.
La société auvergnate Sofoma, un sous traitant du malletier Louis Vuitton (LVMH), géant du luxe du groupe Arnault , a fait une offre de reprise du site de Lejaby, avec plusieurs promesses:
Un maroquinier auvergnat va reprendre le site Lejaby, menacé de fermeture
C'est ce qu'a annoncé Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur aux 93 salariés de l'atelier d'Yssingeaux, en Haute-Loire.
La société auvergnate Sofoma, un sous traitant du malletier Louis Vuitton (LVMH), géant du luxe du groupe Arnault , a fait une offre de reprise du site de Lejaby, avec plusieurs promesses:
- garder ses ouvrières, à Yssingeaux,
- garantir des commandes sur plusieurs années.
Lejaby renforce LVMH !
L'entreprise de l'Allier, qui compte environ 200 salariés, avait besoin, avant de se lancer, de sécuriser ses commandes de maroquinerie. Elle s'est ainsi rapprochée de Louis Vuitton, marque phare de LVMH (propriétaire des Echos) et l'un de ses principaux donneurs d'ordre. Le numéro un mondial du luxe s'est alors engagé à lui fournir " au cas où sa proposition aboutirait, un plan de charge de plusieurs années assurant le maintien des emplois sur place ", indique LVMH dans un communiqué.
En fait, les ouvrières de Lejaby, grâce à leur savoir faire dans la lingerie, pourront, une fois leur formation assurée, fabriquer notamment les doublures de sacs haut de gamme. Vuitton est en quête de nouvelles capacités de production. Avec l'envolée des ventes de produits de luxe à l'international, le malletier a du mal à répondre à la demande. En avril dernier, il a inauguré son douzième atelier en France, à Marsaz, dans la Drôme. Il a aussi décidé de faire plus appel à ses sous traitants, comme Sofama.
Lejaby renforce LVMH !
L'entreprise de l'Allier, qui compte environ 200 salariés, avait besoin, avant de se lancer, de sécuriser ses commandes de maroquinerie. Elle s'est ainsi rapprochée de Louis Vuitton, marque phare de LVMH (propriétaire des Echos) et l'un de ses principaux donneurs d'ordre. Le numéro un mondial du luxe s'est alors engagé à lui fournir " au cas où sa proposition aboutirait, un plan de charge de plusieurs années assurant le maintien des emplois sur place ", indique LVMH dans un communiqué.
En fait, les ouvrières de Lejaby, grâce à leur savoir faire dans la lingerie, pourront, une fois leur formation assurée, fabriquer notamment les doublures de sacs haut de gamme. Vuitton est en quête de nouvelles capacités de production. Avec l'envolée des ventes de produits de luxe à l'international, le malletier a du mal à répondre à la demande. En avril dernier, il a inauguré son douzième atelier en France, à Marsaz, dans la Drôme. Il a aussi décidé de faire plus appel à ses sous traitants, comme Sofama.
Au total, Vuitton emploie 16.000 salariés, dont 3.000 en France.
Mettant en avant le made in France, Bernard Arnault, le PDG de LVMH, a indiqué aujourd'hui que «chaque année le groupe LVMH créée de nombreux emplois artisanaux en France, et exporte les fabrications françaises dans le monde entier ».
Le gouvernement n'est pas inactif comme le soutient le PS
Le PS va trouver à dénigrer
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Arnaud Montebourg, élu socialiste de Saône-et-Loire, n'aura pas été aussi efficace que disert et critique.
Il ne lui reste plus qu'à être positif et à saluer la supériorité de l'action sur l'activisme.
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