vendredi 25 novembre 2011

Violeur à 11 ans d'une enfant de 6 ans

Identité masquée du criminel présumé, mais bientôt la photo de la victime avérée ?





Un violeur mineur n'est pas un adulte;

mais les violences aux femmes,

c'est à partir de quel âge ?





Initiation familiale et bizutage précoce


Identités masquées
La mère et la grande soeur, complices du criminel présumé, ont également été mise en examen: l'adulte est soupconnée d'avoir dissimulé des preuves pour protéger son fils et sa fille a participé à la neutralisation de la victime.

Le Parquet de Versailles vient d'ouvrir une enquête sur
une sordide histoire de viol entre mineurs. Un garçon de 11 ans est accusé d'avoir abusé d'une petite voisine de 6 ans avec l'aide de sa grande soeur, tandis que la mère aurait détruit des preuves et intimé le silence à la petite fille pour protéger son fils.
Tous les trois ont été mis en examen respectivement pour viol, complicité de viol, et non-dénonciation de crime sur mineur et destruction de preuves, selon Le Parisien qui révèle l'affaire.
La petite Sonia (identité maquillée) s'est tue pendant près d'un mois avant de raconter à sa mère le calvaire qu'elle a subi un mercredi après-midi de septembre, alors qu'elle jouait au pied des tours HLM d'un quartier de la Verrière, dans les Yvelines. Invitée par une amie à jouer à cache-cache, la fillette s'est retrouvée dans une chambre de l'appartement familial avec d'autres enfants. La petite fille explique que la grande soeur de son amie, âgée de ...12 ans, lui aurait alors attrapé les jambes et les bras pour l'empêcher de se débattre, pendant que son frère Johnny (prénom modifié), 11 ans, la frappait. Il l'aurait ensuite déshabillée et violée.

Pendant ce temps, la mère de Sonia, inquiète de ne plus voir sa fille au pied de l'immeuble, s'est rendue chez l'amie de son enfant.
Une des soeurs du DSK en herbe lui a ouvert et dit que la fillette regardait un DVD avec son frère et ses autres soeurs. Selon le récit de la fillette, la mère de Johnny, consciente de ce qui s'était passé dans la chambre, aurait jeté une partie de ses vêtements, puis l'aurait lavée en lui intimant de ne rien raconter sous peine de représailles. De retour chez elle, Sonia s'est plainte de maux de ventre, et a expliqué à sa mère que Johnny lui avait donné un coup de poing.

De la prévention plutôt que des sanctions éducatives ?

La mère de Sonia a déposé plainte le 24 octobre. Des examens gynécologiques ont confirmé que la petite fille avait bien été violée.
Interrogé jeudi par la police, Johnny a partiellement reconnu les faits. Sa mère et sa soeur ont quant à elles nié en bloc s'être rendues complices de l'agression. Les deux enfants ont été placés dans un foyer tandis que la mère de famille est sous contrôle judiciaire.

Selon Le Parisien, Johnny était déjà suivi par un juge pour des faits de violence dénoncés par les services sociaux.
Ses soeurs ont elles été violées par un oncle.
Lien PaSiDupes: Agnes assassinée par laxisme des institutions, idéologues, juges et experts

Un être humain ne peut être un monstre
Et un enfant, un petit ange...
S'il est reconnu coupable, le garçon de 11 ans ne risque pas de peine d'emprisonnement car, si sexuellement mature qu'il soit, "il n'a pas du tout le discernement d'un adulte", explique Jean-Pierre Rosenczveig, président du tribunal pour enfant de Bobigny, qui considère sans doute que la maturité arrive avec l'âge adulte comme un don de la société. " À partir de 13 ans, la loi autorise le prononcé de peines contre les enfants, mais recommande le plus souvent possible de ne pas le faire".

Comme Mathieu, le violeur et assassin d'Agnès en Haute-Loire, Johnny encourt par contre des mesures éducatives, "comme le placement dans un internat ou le suivi par un éducateur", ou des sanctions éducatives plus sévères ! Ces dernières engloblent l'interdiction de fréquenter une personne ou un lieu et l'obligation d'être suivi par un psychiatre.

Les éducateurs de Mathieu avaient déjà été aveugles sur son cas
Lien PaSiDupes : A propos d'une marche blanche de plus et de trop Et les juges idéologues avec eux...

Comme la presse militante.
L'identité de la victime, Agnès Marin (ci-dessus), est sur la place publique, mais celle de Mathieu, l'assassin, est 'secret judiciaire'.



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):