dimanche 7 août 2011

Crise : l'amère Royal croit pouvoir faire mieux que tous les états européens


Royal dénonce le "manque de courage" des Etats dans les réformes

La Mère courage est de retour !

La candidate à la primaire socialiste pour 2012, a encore porté un jugement. Elle a voulu ajouter son grain de sel samedi à la dégradation de la note des Etats-Unis par Standard and Poor's qui ne fait plus confiance en Barack Obama. La petite présidente de région portait le président métis aux nues au moment de son élection, mais la voici qui dénonce maintenant le "manque de courage" des Etats pour mener certaines réformes.

Catastrophisme socialiste
Comme la Ch'tite Aubry (lien PaSiDupes) et pour ne pas être de reste, elle en profite d'ailleurs pour juger l'U.E. à l'aune américaine et pour dramatiser la crise de la dette dans la zone euro.
Il s'agit de donner à croire que les échecs socialistes en Grèce ou en Espagne sont la faute de l'Union européenne et que notre tour ne saurait tarder...
Comme ce serait bon pour la campagne présidentielle que la France soit emportée dans la tourmente !

Royal sait mieux que tout le monde
Amalgame: "L'urgence en Europe comme aux Etats-Unis, c'est la relance de l'activité économique", fait valoir dans un communiqué la présidente de Poitou-Charentes.

Yaka
Pour cela, ajoute-t-elle, les Etats doivent enfin "imposer au système financier des règles maintes fois annoncées mais jamais réalisées par manque de courage et en raison d'une idéologie libérale dramatique pour l'avenir de nos peuples".

" Pourquoi les décisions prises par la zone euro en 2008 ne sont toujours pas appliquées concernant la moralisation du capitalisme ?", s'interroge la rivale malheureuse de Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2007.

Ainsi "la taxation des mouvements de capitaux, la réforme du système bancaire, l'interdiction de spéculer sur les dettes des Etats ne sont toujours pas en vigueur", dénonce-t-elle.
Rien de neuf sous le ciel socialiste
Yaka taxer !
Et sans doute la relance suivra...

1 commentaire:

  1. C'est bien triste, mais la maladie poursuit son oeuvre destructrice...

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