jeudi 28 juillet 2011

Déficits: la gauche refuse l'union sacrée à la France et le FMI la désapprouve


Le président cherche à responsabiliser les gouvernements à venir sur les déficits

Nicolas Sarkozy écrit aux parlementaires pour les convaincre

Le Président de la République souhaite encadrer les déficits publics par la Constitution.
Nicolas Sarkozy a donc écrit à tous les parlementaires pour les appeler à « se rassembler » au-delà « des intérêts partisans » pour remettre en ordre les comptes publics du pays
, après l'adoption la semaine dernière d'un nouveau plan gouvernemental d'aide à la Grèce.

L'Elysée a donné l'exemple
Dans un rapport publié lundi 25 juillet, la Cour des comptes a salué les efforts entrepris par l’Elysée en 2010 pour permettre " une gestion plus rigoureuse " des dépenses.
Si son président, le socialiste Didier Migaud, suggère encore des améliorations " tant du côté de l’allègement des charges que de la transparence des coûts " - comme sur la participation financière des journalistes dans les déplacements -, le comptable des comptes de la Nation rend aussi hommage pour la première fois à la " réduction des coûts de fonctionnement " de la présidence de la République.
La gauche caviar ne s'offusquerait pas d'une présidence en peau de lapin.

Déficit public

Dans cette lettre rendue public mardi, le chef de l'Etat affirme vouloir une « France exemplaire dans la remise en ordre de ses comptes publics et de son économie » afin d'« entraîner » ses partenaires européens et permettre à l'Europe de « sortir grandie et renforcée » de la crise actuelle.

Le chef de l'Etat a également veillé à « informer personnellement » des décisions prises au sommet des dirigeants européens du 21 juillet à Bruxelles, se déclare « convaincu » que «seule une volonté commune et inébranlable peut permettre à l'Europe de sortir grandie et renforcée » de cette grave crise.
Les mesures prises à Bruxelles l'ont été « en pensant à l'avenir des peuples et des générations futures, en privilégiant l'intérêt général, au détriment de sensibilités politiques parfois différentes et d'intérêts nationaux qui, dans le passé, ont pu contribuer parfois à nous diviser», dit-il.

La Règle d'Or et la réforme de la Constitution
« En France, dans les mois qui viennent, nous avons besoin aussi de nous rassembler sur ces questions essentielles, au-delà des intérêts partisans », poursuit le président Sarkozy, qui demande vraiment l'impossible à la gauche.

Une convocation du Congrès pour inscrire dans la Constitution des règles de retour à l'équilibre budgétaire doit donc être débattue à la rentrée.
« La représentation nationale que vous incarnez jouera, j'en suis sûr, un rôle majeur pour assurer le sens de notre responsabilité commune face à l'Histoire », ajoute-t-il.

Un projet de loi de réforme constitutionnelle a d'ailleurs déjà été adopté par l'Assemblée nationale et le Sénat. Il vise à instituer des « lois-cadres d'équilibre des finances publiques » prévoyant sur au moins trois ans « le rythme du retour à l'équilibre » budgétaire recherché par l'exécutif.

Mais pour entrer en vigueur, il doit être adopté par le Congrès où une majorité des 3/5èmes est requise, un seuil délicat à atteindre alors que l'opposition continue de s'opposer à cette réforme qui l'engage.

VOIR et ENTENDRE Valérie Pécresse interrogée par Célyne Bayt-Darcourt (France Info) sur les déficits publics et la "règle d'or" préconisée par le chef de l'Etat:

La règle d'or, c'est une règle de bon sens"... par FranceInfo


Au PS, la règle n'est pas un silence d'or et l'action

Hautain avant même sa désignation, François Hollande
, l'un des candidats à la primaire socialiste, a estimé mardi 26 juillet que Nicolas Sarkozy n'avait " aucune leçon à donner " sur les comptes publics qui se "sont dégradés" sous son mandat .
"Nicolas Sarkozy a même plutôt une repentance [sic] à avouer", estime celui qui refuse la repentance pour lui-même, Premier secrétaire du PS lors de l'affaire Banon , la jeune fille qui accuse le meilleur candidat socialiste des sondages, Dominique Strauss-Kahn, de tentative de viol. Il polémique en marge d'un déplacement de campagne à Asnières-sur-Seine (Hauts-de-Seine) et joue du superlatif malgré la crise économique et financière internationale: " c'est sous son mandat que les comptes publics se sont dégradés avec la plus grande rapidité et hélas [sic] la plus grande intensité ", a estimé François Hollande qui n'a jamais exercé aucune minitérielle, si petite soit-elle.
" La proposition que je fais, c'est que nous réglions cette exigence de redresser les finances publiques au lendemain de 2012 [2013 ou 2014?]. Tout ce qui sera annoncé avant sera de l'affichage ", a estimé le député de la Corrèze, contredisant la déclaration de son ami Michel Sapin, en avril dernier (cf. ci-dessous).

=>Samedi 16 juillet, François Hollande assurait dans les colonnes du journal Le Monde : " La dette est l'ennemie de la gauche et de la France ". Et de promettre: " Il faut rééquilibrer nos comptes publics dès 2013." Niant " céder à je ne sais quelle pression des marchés ou des agences de notation ", le candidat n'a pas dit comment il compte faire pour réaliser ce retour sous la barre des 3 % du PIB de déficit public " à la fin de l'année 2013 " condition pour que notre pays retrouve confiance en lui ". Le député socialiste a fait valoir que "mieux vaut avoir un engagement qui soit une parole crédible plutôt qu'un effet d'annonce" en fin de mandat "qui, même pour les marchés, n'a aucune forme de vérité".

Fuyant le passage des paroles aux actes, le candidat a eu le sentiment que le chef de l'Etat " demande à son successeur de faire ce que lui-même n'a pas réussi à réaliser ". " Le laxisme, il est du côté de Nicolas Sarkozy et la vérité, elle est de mon côté ", a conclu, binaire et caricatural, le candidat socialiste en campagne, refusant de s'engager.

La Ch'tite Aubry ne quitte pas l'invective

Le président de la République "se lance dans une nouvelle opération de pure communication". Et c'est par ...communiqué que le Premier secrétaire du PS en disponibilité juge cette lettre. L'amère initiatrice des 35 heures a ainsi estimé mardi que Nicolas Sarkozy est "totalement disqualifié pour donner à quiconque une quelconque leçon de maîtrise des comptes publics".
" L'histoire retiendra que la décennie de la droite au pouvoir aura été celle du doublement de la dette; aux dires mêmes de la Cour des comptes, la gestion de M. Sarkozy et de ses amis est responsable des 2/3 des déficits ", lance la candidate à la primaire socialiste.

VOIR et ENTENDRE le bilan des 35 heures de la Ch'tite Aubry, dressé par Valérie Pécresse sur France Info:

Par conséquent, "le président sortant est totalement disqualifié pour donner à quiconque une quelconque leçon de maîtrise des comptes publics". Selon la haineuse maire communautariste de Lille, " la France n'a pas besoin de nouvelles fausses promesses, mais de vrais engagements".

"A la fausse règle d'or d'un Sarkozy qui a plombé les comptes de la nation, je préfère une vraie règle de conduite, celle que je m'engage à suivre si je suis élue Présidente de la République en 2012 : affecter la moitié des marges de manoeuvre au désendettement du pays, qu'il s'agisse de celles issues de la réduction des niches fiscales injustes et inefficaces, ou des fruits de la croissance", réaffirme-t-elle. "Et parce que gouverner ce n'est pas ne pas agir, c'est choisir, l'autre moitié sera affectée principalement aux trois priorités majeures qui sont les miennes : l'emploi et le pouvoir d'achat, l'éducation et la sécurité", poursuit celle qui n'est pas encore désignée par la primaire.

L'ex-premier secrétaire se démarque de la politique du PS
La position de l'ex-ministre de Lionel Jospin a radicalement changé. Le dimanche 17 juillet, au "Grand Rendez-vous", Aubry a rappelé la règle générale du programme socialiste: attribuer 50 % des ressources supplémentaires nées de la suppression d'un certain nombre de mesures mises en place par l'actuelle majorité à la réduction du déficit.
"Ça veut peut-être dire", ajoutait la maire de Lille, "que la première année ça sera deux tiers vers la réduction de la dette et du déficit". Et la candidate de promettre : " C'est une règle sur laquelle, moi, je m'engage et que je mettrai en place. " Or, ce n'est pas celle que le PS préconisait jusqu'ici. Que reste-il du projet ?

L'ex-ministre ne sait plus où elle en est
Le parti socialiste envisageait en effet, la première année, de maintenir une progression d'1,7 % des dépenses publiques, hors inflation, contre 0,8 % prévus par l'actuelle majorité, inflation inclue. Le projet du PS devait ainsi permettre la mise en place des mesures à même de générer un "choc de croissance", et notamment les "300 000 emplois d'avenir", qui devraient, selon le parti, garantir une croissance de 2,5 %, sur laquelle se base tout le projet socialiste comme, du reste, l'actuelle majorité. Un chiffre jugé très optimiste par la majorité des économistes.
'Laxisme' ou 'pure communication' ?

Reculade
Benoît Hamon, porte-parole du PS et soutien de Brochen-Aubry le temps de la primaire, a expliqué lundi 18 juillet que son parti respecterait l'objectif de retour sous les 3% avant 2013, mais qu'il chercherait à modifier la manière de calculer les déficits. " Nous disons que ces règles, dès lors que la France s'est engagée [sous la pression européenne], nous les prenons, mais nous mettrons tout en oeuvre pour les changer ", a-t-il concédé.

La Ch'tite aurait néanmoins les moyens de doubler le budget de la Culture
En matière d'irresponsabilité budgétaire, la candidate fait fort. A la Culture, Tartine Aubry promet du Nutella: un milliard d'euros et 10.000 emplois publics au monde de la culture en cas de victoire à l'élection présidentielle de 2012. Dans une tribune au Monde publiée mercredi, le petit rosé de Provence servi frais libère visiblement la parole. L'ancienne numéro un du PS de retour d'un festival d'Avignon lourdement arrosé a de nouveau provoqué la stupéfaction du PS. " J'ai proposé une évolution de 30 à 50%, 200 millions d'euros de plus par an pour l'Etat. C'est un redéploiement que l'on peut assumer, au regard des cadeaux fiscaux que nous supprimerons".
Martine Aubry avait été critiquée par des personnalités du PS, dont le candidat à la primaire socialiste Manuel Valls, qui avait jugé cette proposition intenable, mais l'irresponsable remet ça !

La polémiste a dû mettre de l'eau dans sa bière
Contrairement à ce qu'affirme aujourd'hui la maire de Lille, les socialistes jugeaient jusqu'ici improbable de parvenir à ce "rééquilibrage" réclamé par l'Union Européenne, à la date de 2013. Il y a seulement trois mois, en avril dernier, date de leur discussion sur la question du cadre budgétaire de leur projet, ils jugeaient "plus raisonnable" d'envisager cet objectif pour 2014, soit un an plus tard.
" Nous nous engageons à ce qu'en 2014, la courbe de l'endettement soit inversée ", promettait l'ancien ministre PS Michel Sapin, ajoutant : " il faut faire attention à ne pas être obnubilés " par l'objectif du retour à 3 % du PIB dès 2013...

Martine Aubry allait même plus loin. La maire de Lille promettait alors que le PS se "battrait" pour obtenir un report de l'échéance de 2013. " Plus des deux tiers des pays européens demandent que cette étape soit repoussée à 2015", assurait-elle de surcroît.

Prise en flagrant délit, Aubry détourne l'attention de ses fluctuations

Exclue du pouvoir depuis 2002 avec Jospin, voire même 1995 avec Mitterrand, la gauche est amère et animée par la haine.
Michel Sapin, secrétaire national à l’économie et à la fiscalité cite le socialiste Didier Migaud: " selon la Cour des comptes, sur les 150 milliards d’euros de déficit de l’année dernière, 50 sont imputables à la crise et 100 aux politiques de droite menées tout particulièrement ces cinq dernières années." Et affirme que " face au déficit, l’urgence, ce n’est de pas de changer la Constitution, (...) c’est d’agir avec efficacité et justice."
Michel Sapin assure ainsi que les socialistes " ne voteront pas cette fausse règle d’Or" et qu'ils " continueront de s’adresser aux Français pour leur proposer une véritable réforme fiscale, pour plus de justice et d’efficacité et au service de l’investissement et de l’emploi".

« C'est comme si un conducteur sans permis prétendait donner des leçons de conduite : la posture de M.Sarkozy est politicienne », a estimé l'amère Royal, en posture électoraliste de candidate en campagne, lors d'une conférence de presse au siège du PS à Paris.
Comme ses camarades du PS, Mme Royal voit deux preuves attestant de ce caractère "politicien" : cette règle s'appliquerait « en 2013 et pas en 2012 » et donc pas « à (M. Sarkozy) lui-même ». Mais le PS s'est fixé la même date (cf. F. Hollande ou la picto-charentaise, ci-dessus), encore faudrait-il que la coquecigrue du marais poitevin fasse un effort d'honnêteté et l'admette publiquement...
Second élément : « depuis que M. Sarkozy est là, on est passés de 50 à 100 milliards de déficit. Il a creusé lui-même le déficit qu'il prétend réduire ».
VOIR et ENTENDRE l'analyse de Christophe Barbier (L'Express) sur les torts partagés de la droite et de la gauche sur la règle d'or:

Le FMI invite les présidentiables à poursuivre la rigueur

Alors que dure toujours la crise économique internationale et à neuf mois de l'élection présidentielle en France, le FMI invite implicitement les candidats à poursuivre une politique mêlant rigueur et soutien à l'économie et prône une autre réforme des retraites.

Le Fonds monétaire international salue dans son rapport annuel sur la France publié mercredi l'effort de redressement finances publiques engagé dans le pays et juge sa poursuite "cruciale" pour soutenir la note "triple A" qui lui permet d'emprunter sur les marchés à des taux avantageux.

L'institution désormais dirigée par la Française Christine Lagarde suite à la démission du socialiste Dominique Strauss-Kahn du fait de poursuites pour violences sexuelles, se montre pessimiste sur la vitesse de rétablissement des comptes publics, sans s'écarter toutefois totalement des prévisions françaises.

L'adoption d'une "règle d'or" budgétaire accroîtrait la crédibilité de l'engagement des autorités françaises à réduire les déficits, poursuit le FMI, au moment où majorité et opposition se querellent sur le sujet.

" Le programme de stabilité français trouve un bon équilibre entre les préoccupations de croissance et de soutenabilité ", écrit le FMI, en soulignant qu'" une importante consolidation budgétaire a été mise en mouvement " pour réduire le déficit à 3% du PIB en 2013 et 2% en 2014.

Selon l'institution, "la France ne peut prendre le risque de rater ses objectifs budgétaires à moyen terme, étant donné le besoin de renforcer la mise en oeuvre du Pacte de stabilité et de conserver les coûts d'emprunts à un niveau peu élevé en confortant sa note AAA".

Comme annonçé, la réforme des retraites continue

Alors que Tartine Aubry promet toujours de revenir à un âge légal de départ à la retraite à 60 ans, garantir la "soutenabilité" des finances publiques de la France à long terme nécessitera de réformer plus profondément les systèmes de retraite et de santé, ajoute le FMI.
"Une nouvelle hausse future de l'âge légal de la retraite liée à l'accroissement de l'espérance de vie éviterait la poursuite de la pression budgétaire", écrit le FMI, en soulignant que les travailleurs français passent plus de temps à la retraite que tous leurs homologues des pays avancés. Mais, avec sa mauvaise foi coutumière et toutes les chances d'être crue, la CGT fait campagne en assurant que le système français est le plus dur !

Le FMI avait déjà appuyé en 2010 la décision de la majorité de reporter de 60 à 62 ans l'âge légal de départ à la retraite sous le règne de son ancien directeur général, le socialiste Dominique Strauss-Kahn, s'attirant des critiques au PS.
Nicolas Sarkozy avait salué cette justification de sa politique de réformes qui taclait le mouvement de protestation syndicale.

Eric Woerth avait prévenu que -rappelons-le - une actualisation progressive serait nécessaire et qu'une réflexion devrait être engagée par la nouvelle équipe gouvernementale en 2013.

Quant aux dépenses de santé, "des gains de productivité continus sont nécessaires pour éviter une hausse non-soutenable des dépenses de santé et de soins de longue durée", lit-on.

La France doit aussi s'améliorer sur d'autres fronts déjà bien connus, poursuit le FMI, en relevant sa compétitivité et en facilitant l'emploi des jeunes et des personnes peu qualifiées.

Le FMI prévoit que le déficit public de la France sera ramené sous la barre de 3% du produit intérieur brut - la limite fixée par le Pacte de stabilité européen - en 2014, le gouvernement prévoyant d'y parvenir un an plus tôt.

Portée par une croissance économique de 2,1% cette année, 1,9% en 2012, 2,0% en 2013 et 2,1% en 2014, la France réduirait son déficit à 5,7% du PIB fin 2011, 4,8% en 2012, 3,8% en 2013 et 2,9% en 2014, selon les économistes du FMI.

Le gouvernement prévoit pour sa part de ramener le déficit de 7,1% fin 2010 à 5,7% fin 2011, 4,6% fin 2012, 3% fin 2013 et 2% fin 2014, la croissance étant de 2% en 2011 et 2,25% en 2012.

Le ratio de dette publique sur PIB commencerait à baisser en 2014, selon le FMI, soit un an plus tard que ce que prévoit le gouvernement.

La dette publique de la France atteindrait 85,2% du PIB fin 2011, 87,2% en 2012, 88,1% en 2013 et 87,8% en 2014, selon le rapport du FMI, rédigé avant le nouveau plan d'aide à la Grèce qui doit alourdir cette dette d'une quinzaine de milliards d'euros (0,75 point) d'ici 2014.

2 commentaires:

  1. Une fois de plus, une proposition est jugée par les socialistes non en fonction de ce qu'elle dit mais en fonction de qui le fait.
    Monsieur Sarkozy a augmenté les déficits? Et alors? A cause de cela, faut il renoncer au retour à l'équilibre et à l'instauration de règles strictes pour y parvenir?
    Les socialistes ne veulent pas voter ce texte en prétextant aussi qu'il suffit de supprimer les niches fiscales! Mais le texte impose-t-il les moyens de parvenir à l'équilibre budgétaire?
    Parce que certains veulent l'équilibre en augmentant les impôts et d'autres en réduisant les dépenses, est-ce pour cela qu'on ne peut pas se mettre d'accord sur une résolution de bon sens: On ne peut pas dépenser plus qu'on ne gagne?
    Les socialistes détournent l'attention et ne répondent pas sur le fond. Pour 2 raisons:
    - Cela les mortifie d'approuver une proposition de Sarkozy qui ne peut, par définition qu'avoir tort.
    - Cela les obligerait à voir la réalité et à assumer les conséquences de leurs actes.

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  2. Pere Tinentjuillet 29, 2011

    Analyse pertinente

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