Plus un sou d’argent public pour les Syndicats qui prennent la France en otage !
Budgets annuels plus ou moins officiels de 4 centrales :
CGT- : 220,6 Millions d’euros de budget dont 145 millions hors cotisations
FO ---: 61 millions d’euros de budget annuel dont 26 millions hors cotisations
CFDT : 138 millions d’euros de budget annuel dont 69 millions hors cotisations
CFTC : 60 millions d’euros de budget annuel dont 48 millions hors cotisations
(lien IFRAP)
Budgets annuels plus ou moins officiels de 4 centrales :
CGT- : 220,6 Millions d’euros de budget dont 145 millions hors cotisations
FO ---: 61 millions d’euros de budget annuel dont 26 millions hors cotisations
CFDT : 138 millions d’euros de budget annuel dont 69 millions hors cotisations
CFTC : 60 millions d’euros de budget annuel dont 48 millions hors cotisations
(lien IFRAP)
Au moins pour ces 4 syndicats, le montant des subventions directes ou indirectes pourrait être d’à minima 288 millions d’euros…
Et pourtant, J.-L. Mélenchon (Parti de gauche) et P. Laurent (PCF) descendent ce weekend dans la rue pour la manche. Lire PaSiDupes
Ils crient misère:
- les grévistes de Marseille défendent leurs privilèges : les grutiers et portiqueurs ont un rythme de travail épuisant et pénible : ils vont récmamer des privilèges de pénibilité pour 20 h d'astreinte par semaine avec un travail limité à 12h , le tout pour 5000 euros mensuels;
- Didier Le Reste (CGT Cheminots) se plaint d'une retraite annoncée à 2300 euros;
- Bernard Thibault (CGT) a des fins de mois difficiles avec 5000 euros mensuels, plus les avantages en nature !
Et qui paie les dégats sur le parcours des cortèges de grévistes et de manifestants: lien PaSiDupes
Refus citoyen du gaspillage de l'argent de l'impôt
Les économies doivent porter sur les niches syndicales aussi.
Monsieur le Président,
Les grèves à répétition parasitent notre économie. Après la SNCF, la RATP, La Poste… les blocages du port de Marseille et des raffineries sont une honte, et les scènes de débordements inadmissibles.
Cette tyrannie n’est plus supportable, surtout quand on sait qu’elle est financée par nos impôts.
Nous devons arrêter de financer des syndicats qui usent et abusent du droit de grève au détriment des Français, et qui n’hésitent pas à chaque annonce de réforme à paralyser tout le pays.
C’est pourquoi je vous demande aujourd’hui de mettre un terme au financement public des syndicats par les contribuables, c’est-à dire par mes impôts et mes cotisations.
Respectueusement,
Action à l'initiative de l' Observatoire des subventions
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):