jeudi 26 août 2010

Instrumentalisation politicienne des Roumains clandestins

Les défenseurs des Rom clandestins lancent un appel à la résistance

Récupération politicienne par la gauche radicale

Des extrémistes constitués en associations de défense des droits – bien que clandestins - des Rom ont lancé jeudi 26 août un appel à la résistance contre la politique sécuritaire, qualifiée de "raciste" du gouvernement qui suscite des commentaires en France plus qu'en Roumanie...

Le collectif Romeurope a présenté son rapport annuel sur la situation des Roms alors que deux nouveaux vols, transportant quelque 300 membres de cette communauté dont les camps ont été démantelés, ont quitté jeudi la France pour Bucarest, en pleine entente avec les autorités roumaines.
Pourtant, "il est urgent d'arrêter cette chasse aux Roms qui est clairement discriminatoire et raciste", a décrété Malik Salemkour, vice-président de la Ligue des Droits de l'Homme, une association qui avait affiché ses orientations en apportant son soutien à certains membres des Brigades rouges ! En 2006, deux membres du comité central de la LDH, Antoine Spire et Cédric Porin, annoncèrent leur démission dans Le Monde,reprochant notamment à la Ligue sa complaisance à l'égard de l'islam radical ou encore sa « culture de repentance postcoloniale »

=> La coordination générale de ce collectif Romeurope est assurée par le Secrétariat International de ...Médecins du Monde qui est proche du PCF...

Le collectif cible le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux
Suite à l'information condamnée par « le politiquement correct » sur l'augmentation de la criminalité des Roumains en France, les communistes accusent le ministre de "profilage ethnique".
"La communauté Rom est devenue une sorte de laboratoire juridique pour tester la réduction des droits des étrangers, pour ensuite l'étendre à d'autres nationalités", a commenté le collectif.
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La vertueuse LDH – simple ONG sans légitimité aucune - qui n'est jamais bien éloignée des actions de subversion, côtoie au sein de Romeurope une myriade de mouvements, de Médecins du Monde au Mouvement contre le racisme et pour l'amitié entre les peuples (MRAP), tous appartenant à la même mouvance extrémiste.

Appel communiste à la résistance

Méprisante des gouvernements roumain et bulgare, ce type d'associations de soutien aux Rom a lancé "un appel aux citoyens et aux collectivités locales à entrer en résistance pour assurer la mise à l'abri des Rom se trouvant en France".

Médecins du Monde n'a donc pas connu l'Europe de l'Est ?
MDM s'est dit contraint d'installer des camps de déplacés sur le modèle de ceux déployés dans les zones de conflits pour accueillir les Rom expulsés par la police.

Les enfants sont poussés sur le devant de la scène

"Dans la population Rom de France, ce sont neuf enfants sur dix qui n'ont pas eu accès aux vaccinations de base", a expliqué Jean-François Corty, un responsable de cette ONG supranationale qui n'a de comptes à rendre à personne.
Outrepassant son rôle présumé humanitaire, il a dénoncé un contexte policier qui crée, selon lui et en toute objectivité, une "peur panique parmi les migrants et aggrave la situation de crise sanitaire".

Romeurope tente de nous imposer des clandestins

Romeurope ne parle pas de devoirs et demande le droit au séjour, à l'éducation, à la santé, au logement - et quoi encore ? - à l'emploi, malgré la crise, pour les migrants et au détriment des nationaux. Il revendique encore la levée des mesures transitoires mises en place lors de l'élargissement de l'Union européenne "qui restreignent l'accès au travail" pour les Roumains et les Bulgares.

Sans aucune légitimité, cette ONG exige !
Elle exige notamment "la scolarisation sans discrimination, inscrite dans la Convention internationale des Droits de l'Enfant", alors que 5.000 à 6.000 enfants Rom vivant en France se verraient selon ses estimations exclus de fait du système scolaire, contre la volonté des familles. Pure démagogie, car, s'ils ne sont pas syndiqués à la FSU, les enseignants savent pertinemment que l'assiduité des élèves Rom laisse fortement à désirer.

Les décalés

Des Chrétiens rivalisent d'humanisme avec les laïcs
Ce rapport est publié alors que, malgré la séparation de l'Eglise et de l'Etat, la République laïque prête une oreille attentive à quelques évêques décalés qui critiquent la politique du gouvernement à l'égard des Rom, telle qu'elle est présentée dans la presse. Lire PaSiDupes

Les Français sont plus réalistes
Les Français sont quant à eux partagés: près de la moitié d'entre eux (48%) se disent favorables aux reconduites de Rom en Roumanie, dans un sondage CSA pour Le Parisien paru jeudi, alors que 42% des personnes interrogées s'y déclarent opposées.

Les Roumains désavouent les extrémistes français

La Roumanie, dont deux ministres étaient à Paris jeudi pour débattre du dossier avec les autorités françaises, se sont pour leur part engagés à faire plus pour mieux intégrer les Rom en Roumanie et enrailler leur fuite vers des cieux plus hospitaliers et ...associatifs.
Valentin Mocanu, secrétaire d'Etat roumain en charge du dossier, a déclaré lors d'une conférence de presse que des "mesures immédiates" seraient prises pour aider les familles à se réinstaller, à trouver du travail et à éduquer leurs enfants.
Plus de 10 millions de Roms vivent dans l'Union européenne, dont seulement un cinquième en Roumanie, et l'UE a dégagé un budget de 17,5 milliards d'euros pour contribuer à leur intégration.
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Staline et les Tziganes

Les excès de langage de la gauche et les références de ses excités à la période nazie n'occultent pas les horreurs soviétiques.
En Europe de l’Est, les Rom se retrouvèrent dans une large proportion pris dans les politiques d’assimilation et de sédentarisation des démocraties populaires sous le régime totalitaire soviétique.
Dès avant-guerre, Staline considéra d'ailleurs les minorités frontalières comme suspectes. Les Tziganes ou Rom (Romanichels) de Roumanie, Bulgarie ou Tchécoslovaquie n'échappèrent pas aux Grandes Purges de 1937-1938 et à la déportation préventive.
La Tchécoslovaquie soviétique avait adopté, dès 1927, une loi contre les Tziganes nomades et leur avait délivré une carte d'identité différente de celle des autres citoyens tchèques: on ne parlait alors pas de stigmatisation.
Et en Roumanie et en Bulgarie des années 1990-2000, les propriétaires terriens, d'ex-communistes, chassèrent les Rom de leurs terres.

Est-ce assez pour ramener les « humanistes » décervelés à la raison ? Impossible.
D'autant qu'ils ne sont pas toujours responsables, puisque les professeurs de la FSU consacre leur temps au nazisme pour n'avoir pas à s'étentre sur le totalitarisme soviétique.

1 commentaire:

  1. la reconduite à la frontière fait partie de l'arsenal démocratique dont dispose chaque pays

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