Festival de Cannes : les films qu’il ne faut voir sous aucun prétexte

Laissons-les aux snobs, bobos et intellos de la pensée unique Il est capital, en période de crise et de chômage, de penser à tous ceux et celles qui se trouveraient piégés par la réputation frelatée du Festival de Cannes et qui gaspilleraient leur argent pour voir des films primés entre amis.

A inscrire sur votre liste noire :

Palme d’Or 2009 : Le Ruban blanc de Michael Haneke (son amie avec Huppert à la présidence du jury, ça fait un peu promotion canapé )

Grand Prix du Jury :Un Prophète de Jacques Audiard (prix de consolation, car le fils de... est chouchouté depuis plusieurs années à Cannes pour ses idées radicales)

Prix exceptionnel du Jury : Alain Resnais (un prix qui porte la poisse…)

Prix d’interprétation masculine : Christoph Waltz dans Inglourious Basterds de Quentin Tarantino (une révélation pour le festival de Cannes 2009)

Prix d’interprétation féminine : Charlotte Gainsbourg dans Antichrist (qui a donné le haut-le-coeur aux premiers spectateurs)

Prix de la mise en scène : Kinatay de Brillante Mendoza

Prix du scénario : Nuits d’ivresse printanière de Lou Ye et écrit par Mei Feng

Prix du jury ex-aequo : Fish Tank d’Andrea Arnold et Thirst, Ceci est mon sang de Park Chan-Wook

Caméra d’Or 2009 : Samson et Delilah de Warwick Thornton

Mention spéciale : Ajami de Scandar Copti et Yaron Shani

Palme d’or du court-métrage : Arena de Joao Salaviza

Mention spéciale court-métrage : The Six dollar fifty man de Mark Albiston et Louis Sutherland