Exemple de dictature syndicale
Syndicat unique = dictature syndicale
C'est, depuis 1934 .en démocratie française, le syndicat unique des ouvriers de la presse quotidienne nationale française, dans les imprimeries et aussi la distribution de la presse. Il est adhérent de la Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication et il est … CGT !
Comme chez les dockers, cette organisation assure une double fonction :
1- celle de défense des intérêts des salariés de la presse quotidienne nationale
2- et celle de bureau de placement des ouvriers du livre dans les imprimeries de presse parisienne.
La convention collective stipule : « l’embauchage s’effectue par le chef de l’entreprise, ou son représentant, en accord avec les délégués ou selon les usages qui seront précisés par chacune des annexes techniques (...) ».
La CGT, pour l’équité ?
La CGT dispose ainsi d'un monopole d'embauches dans le secteur, source de sa puissance. Le système permet aux employés de bénéficier d'un très haut niveau de salaire. Ainsi, selon un rapport sénatorial, le poids des salaires dans les coûts de l'impression de presse (quotidiens) est de 80 % contre 35 % dans l'imprimerie de labeur (autres publications).
Le syndicat CGT du livre : une verrue bolchévique
Le syndicat du livre est accusé d'être l'une des causes du déclin de la presse écrite quotidienne en France. Est notamment mise en cause la politique de prix élevés imposée par le syndicat aux imprimeries, destinée à éviter la concurrence entre imprimeries.
Ainsi la CGT défend-elle les emplois… mais la presse se meurt et les patrons sont les seuls responsables…
Liberté d’expression, vue par la CGT
Syndicat unique = dictature syndicale
C'est, depuis 1934 .en démocratie française, le syndicat unique des ouvriers de la presse quotidienne nationale française, dans les imprimeries et aussi la distribution de la presse. Il est adhérent de la Fédération des travailleurs des industries du livre, du papier et de la communication et il est … CGT !
Comme chez les dockers, cette organisation assure une double fonction :
1- celle de défense des intérêts des salariés de la presse quotidienne nationale
2- et celle de bureau de placement des ouvriers du livre dans les imprimeries de presse parisienne.
La convention collective stipule : « l’embauchage s’effectue par le chef de l’entreprise, ou son représentant, en accord avec les délégués ou selon les usages qui seront précisés par chacune des annexes techniques (...) ».
La CGT, pour l’équité ?
La CGT dispose ainsi d'un monopole d'embauches dans le secteur, source de sa puissance. Le système permet aux employés de bénéficier d'un très haut niveau de salaire. Ainsi, selon un rapport sénatorial, le poids des salaires dans les coûts de l'impression de presse (quotidiens) est de 80 % contre 35 % dans l'imprimerie de labeur (autres publications).
Le syndicat CGT du livre : une verrue bolchévique
Le syndicat du livre est accusé d'être l'une des causes du déclin de la presse écrite quotidienne en France. Est notamment mise en cause la politique de prix élevés imposée par le syndicat aux imprimeries, destinée à éviter la concurrence entre imprimeries.
Ainsi la CGT défend-elle les emplois… mais la presse se meurt et les patrons sont les seuls responsables…
Liberté d’expression, vue par la CGT
Le dessinateur Plantu a dénoncé la censure effectuée par le syndicat du livre. Avec preuve à l’appui : une caricature dessinée pour le magazine La Vie du Rail (au moment des 25 ans du TGV), n'a pas été publié par la direction par crainte de la réaction syndicale de la CGT qui aurait pu entraîner le blocage de l'impression du magazine.
En 1991, la direction des NMPP découvre une cache, un dépôt clandestin, de plus de 5 000 armes dans un de ses entrepôts de Saint-Ouen. Ces armes avaient été détournées en 1980, puis cachées par des ouvriers membres du syndicat du livre CGT, lors de la faillite de Manufrance qui les fabriquait en prévision du « grand soir ». La direction des NMPP ne portera pas plainte. Or, selon Emmanuel Schwarzenberg (PRG), le scandale aurait été étouffé par le gouvernement socialiste complice de l'époque, soucieux de ménager la CGT.
De nombreux cas d'intimidation ont été rapportés vis-à-vis de journaux choisissant de ne pas passer par le quasi-monopole des NMPP. Par exemple,
en 2002, lors de la sortie du quotidien gratuit Metro, de nombreux cas de violences physiques vis-à-vis des distributeurs de Metro par des membres du syndicat du livre ont été rapportés ;
en 2007, le journal La Croix essaie de se libérer (Lire PaSiDupes)
en 1992, pareillement, la société Les Meilleures Éditions SA, éditrice des journaux Le Meilleur et Spéciale Dernière avaient voulu changer d'imprimeur afin de diminuer ses coûts. Le syndicat du livre a empêché d'autres imprimeries contrôlées par le syndicat du livre d'accepter les contrats dans la contrainte de grèves. Lorsque l'éditeur a fait appel à une imprimerie non contrôlée par le syndicat du livre (imprimerie de labeur), celui-ci a été séquestré et obligé de signer un nouveau contrat sous la contrainte. Par la suite, le syndicat du livre a empêché la publication des journaux pendant plusieurs mois par représailles.
Sans commentaires...
C'est la pratique de la Démocratie et de la Liberté selon les "Camarades": la dictature, le contrôle de l'information et des publications, la censure.
RépondreSupprimerQue les journaux et magazines ne se plaignent pas: ils soutiennent toutes les grèves et manifestations, sans autre motif que la haine de la Droite au pouvoir, organisées par leurs Camarades, et exercent une dictature inqualifiable par le contrôle quasi-total qu'a la Gauche des media (97% de journalistes de Gauche, selon leurs prorpes sources; dans la pratique, c'est un contrôle total), qui ne diffusent, en boucle, que les mensonges et insultes de la Gauche.
Ils subissent ce qu'ils font subir toute l'année aux autres; ce n'est que justice-- ou plus simplement: "c'est bien fait pour eux".
Il est inacceptable qu'un pays qui se targue d'être "le pays des Droits de l'Homme et des Libertés" soit sous le joug de syndicats de Gauche extrêmes.
Je me souviens avoir découvert avec une immense stupéfaction, grâce à un reportage de Capital il y a plusieurs années (avant le passage à l'euro), que "les ouvriers du livre" gagnaient... 40000F par mois!
Imaginez combien il gagnent maintenant, à force de grèves et de menaces de grèves.
Malgré les mensonges et les calomnies de la Gauche, le Président Sarokey n'est nullement un dictateur; c'est justement la Gauche qui exerce un pouvoir et des pressions dictatoriales dans tous les secteurs, à commencer par les media, qui ne répètent de manière continue que la propagande du Parti.
Par ailleurs, dans tout le pays, tout le monde pâtit des caprices et des avantages imposés par les syndicats (souvent minoritaires en fait), des et "coups de force", actions violentes et sabotages qu'ils organisent.
Fait sidérant: ce sont les mouvements politiques/syndicaux de Gauche qui dirigent et ordonnent, alors qu'ils ne sont même pas au pouvoir!
Cette aberration montre à quel point ils pratiquent une véritable dictature, et ô combien dangereuse serait leur accession au pouvoir.