dimanche 5 octobre 2008

Exclu du PS, Frêche se flatte d’avoir manipulé les sénatoriales

L’Hérault livré à la pègre socialiste

Pour asseoir largement son pouvoir dans l'Hérault, Georges Frêche, président de la région Lanquedoc-Roussillon, a eu recours à toutes les ruses aux élections sénatoriales. Le cynique Frêche, ici faisant la bise à Sa Cynique Majesté Royal, aurait créé deux listes de toutes pièces pour émietter les voix à gauche et placer son ami Robert Navaro. Une manipulation grossière qui a trompé jusqu’aux grands électeurs !... Mais L’affreux Jojo Frêche n’a pas pu se tenir de s’en vanter auprès du maire UMP de Sète, en présence d'une caméra indiscrète ! Dans la "république du respect", on trompe les électeurs.
Marianne2 vous livre les images.
VOIR et ENTENDRE :


L'Hérault est le seul département où la gauche a reculé lors des sénatoriales partielles du 21 septembre dernier.
La faute à qui ? A l'odieux Georges Frêche, patron du Languedoc-Roussillon, bien qu’exclu du PS ! Sur les quatre sièges à pourvoir, l'UMP en a raflé deux, suivi par le dissident socialiste Robert Tropéano (DVG) et le socialiste Robert Navaro, ami de Frêche, élu de justesse avec seulement 40 voix d’avance.

Frêche se venge du PS en lui faisant perdre un siège
Dans une vidéo tournée par la télévision locale 7L TV, le président de la région Languedoc-Roussillon explique à François Commeinhes, maire UMP de Sète
, comment il a «inventé» les listes de Gérard Delfau et de Ferdinand Jaoul (présentée comme liste «des chasseurs»). Jaoul va-t-il encore oser s'exposer dans les sous-bois ?
En cherchant à provoquer à gauche un émiettement des voix en faveur de la liste PS de son poulain, Robert Navaro, Frêche a réussi à barrer l'accès du troisième siège socialiste à Christine Lazerge, la colistière du candidat dissident, Robert Tropéano (DVG), élu.

Le lendemain de sa diffusion par cette télévision locale, Caroline Rossignol, la journaliste qui a tourné le sujet, a été prise à partie par Frêche qui lui a garanti que «ça allait se payer».
Georges Frêche, le patron de la région, n'en est pas à sa première menace d’abus de pouvoir.

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