La rentrée sociale est-elle ouverte ?
Inutile d’en déclarer l’ouverture, la gauche nous a prévenus : elle est permanente …
Ca n’arrive pas à tous moments, mais souvent
Le dernier arrachage de caténaire ne remonte qu’à trois semaines et c’était aux abords d’Aubagne en plein week-end prolongé du 15 août. (Lire PaSiDupes, libellé 'caténaire') Avouez que ce n’est vraiment pas de chance… Mais le mauvais sort s’acharne décidemment bien beaucoup sur la SNCF.
Le 17 août dernier, une caténaire arrachée sur plusieurs centaines de mètres à proximité d'Aubagne (Bouches-du-Rhône) avait causé de lourdes perturbations sur la circulation des trains dans le Sud-Est, interrompant le trafic pendant plus de trois heures. Une douzaine de TGV avaient connu des retards de 1h30 à au moins 3h30.
La gauche, qui fait flèche de tout bois, à défaut de penser et innover, avait instrumentalisé le mécontentement des usagers et demandé le remboursement du montant total des billets, non pas en bons leurs équivalents mais en espèces sonnantes et trébuchantes.
Inutile d’en déclarer l’ouverture, la gauche nous a prévenus : elle est permanente …
Ca n’arrive pas à tous moments, mais souvent
Le dernier arrachage de caténaire ne remonte qu’à trois semaines et c’était aux abords d’Aubagne en plein week-end prolongé du 15 août. (Lire PaSiDupes, libellé 'caténaire') Avouez que ce n’est vraiment pas de chance… Mais le mauvais sort s’acharne décidemment bien beaucoup sur la SNCF.
Le 17 août dernier, une caténaire arrachée sur plusieurs centaines de mètres à proximité d'Aubagne (Bouches-du-Rhône) avait causé de lourdes perturbations sur la circulation des trains dans le Sud-Est, interrompant le trafic pendant plus de trois heures. Une douzaine de TGV avaient connu des retards de 1h30 à au moins 3h30.
La gauche, qui fait flèche de tout bois, à défaut de penser et innover, avait instrumentalisé le mécontentement des usagers et demandé le remboursement du montant total des billets, non pas en bons leurs équivalents mais en espèces sonnantes et trébuchantes.
On ne peut oublier non plus l’arrachage de caténaire dans l’Ain.
Que les passagers cette fois perturbés le 1er septembre dernier aient été ceux d’un TER ne change rien à l’affaire. Lire également PaSiDupes . La volonté d’une certaine presse de minimiser le nombre des incidents sur le réseau de chemins de fer interpelle, puisqu’elle prétend que le précédent cas remonterait au 17 août…
Nous ne mentionnons même pas l' incendie fortuit qui a éclaté en juillet dernier sur le talus en bordure des voies SNCF de l'axe Paris-Bordeaux, en Poitou-Charentes, à Châtellerault. Des incendies encore, cette fois dans l'Aude, sur le territoire de Schivardi, dans le massif des Corbières.
Le rythme des perturbations s'accélère, avec une nette préférence pour les arrachages
Ca n’arrive pas à tous moments, mais pas tout à fait au hasard
C’est un vendredi soir qu’environ 20.000 usagers de la SNCF à la gare Montparnasse de Paris ont été affectés par l’arrachage malencontreux d'une caténaire à Montrouge (Hauts-de-Seine). Cet accident n’est pas le premier et, comme le précédent, a provoqué des retards importants sur le trafic d'une quarantaine de TGV.
Certains TGV ont subi des retards de près de quatre heures, et la reprise du trafic s’est amorcée vers 20h. Les réparations devaient être terminées dans la nuit et le trafic revenir totalement à la normale samedi matin.
La direction de la SNCF subodore-t-elle quelque malignité suspecte s’acharnant sur ses caténaires ?
La SNCF a décidé de mener à partir de mercredi prochain 10 septembre "sur tout le territoire" une inspection de toutes les caténaires du réseau ferroviaire, après l'incident de la gare Montparnasse.
Cette inspection décidée vendredi soir par le président Guillaume Pepy va se concentrer sur "les points sensibles", à savoir les entrées et sorties des gares les plus importantes, les grands noeuds ferroviaires, les sections à forte circulation et les points les plus sollicités. Les « points sensibles » sont des cibles faciles exposées à des agressions extérieures comme à des malveillances internes.
"Les résultats de cette investigation permettront d'identifier les zones où il faudrait intervenir pour renforcer la robustesse des installations", prétend la SNCF, ajoutant que "ce diagnostic sera analysé avec Réseau Ferré de France, propriétaire du réseau ferroviaire".
Cette inspection peut dissuader les éventuels saboteurs, pendant un temps
Réseau Ferré de France sera alors en mesure d’affirmer que l’état de ses installations, une fois vérifié, n’est pas en cause.
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