L’amère Royal regrette "les attaques inutiles" de Bertrand Delanoë
Peut-être qu’il n’aime pas les femmes ? Ou certaines en particulier... Un de plus !
Peut-être qu’il n’aime pas les femmes ? Ou certaines en particulier... Un de plus !
Inutiles donc, les attaques de Delanoë; Bertrand aussi serait-il pareillement "inutile"? Et ce manque de respect de l'amère Royal pour ses camarades n'est-il pas une agression caractérisée? D'autant qu'elle n'a pas rayé de son langage hypocrite la "république du respect" et se qualifie de "cohérente".
Bertrand a visiblement du doigté... A peine paru, le livre de Bertrand Delanoë-Danton, ‘De l'audace’, suscite pourtant déjà des réactions, notamment au sein du Parti socialiste, où la course pour le contrôle du parti est lancée. Assoiffée de reconnaissance et de pouvoir, l’amère Royal, ancienne prétendante à l’Elysée battue, a voulu brûler les étapes et se rabat maintenant sur ce qu’elle peut. Elle entre en lice pour la direction du PS… Elle refuse ce doigt-là.
Insinuer n’est pas agresser.
Les cicatrices de Sa Cynique Majesté Royal ne sont toujours pas refermées. Le seront-elles jamais ? Elle a encore regretté d’être une cible. Cette fois, elle se plaint d'"attaques inutiles" de la part du maire de Paris, notamment sur l'organisation de sa campagne et sa politique de démocratie participative. « Je crois que l'agressivité à l'égard des personnes est totalement inutile. »
La psychothérapie de l’inconsciente n’a toujours abouti, car elle prétend : « Vous n'entendrez jamais dans ma bouche la moindre agressivité à l'égard des personnes ni à l'égard de Bertrand Delanoë » (sic). C’est du moins ce qu’elle a déclaré sur LCI, regrettant "des attaques" qu'elle a affirmé avoir déjà lues "dans le livre de Lionel Jospin".
Les cicatrices de Sa Cynique Majesté Royal ne sont toujours pas refermées. Le seront-elles jamais ? Elle a encore regretté d’être une cible. Cette fois, elle se plaint d'"attaques inutiles" de la part du maire de Paris, notamment sur l'organisation de sa campagne et sa politique de démocratie participative. « Je crois que l'agressivité à l'égard des personnes est totalement inutile. »
La psychothérapie de l’inconsciente n’a toujours abouti, car elle prétend : « Vous n'entendrez jamais dans ma bouche la moindre agressivité à l'égard des personnes ni à l'égard de Bertrand Delanoë » (sic). C’est du moins ce qu’elle a déclaré sur LCI, regrettant "des attaques" qu'elle a affirmé avoir déjà lues "dans le livre de Lionel Jospin".
Désirdavenir Royal se situe au dessus de la mêlée
La p’titeprésidente de la région Poitou-Charentes a assuré à plusieurs reprises vouloir éviter "un combat de chefs" entre les prétendants socialistes. "Avec moi, il n'y aura pas de combat de chefs, il y aura un débat d'idées sérieux, approfondi", a-t-elle promis. Pour les idées, ce serait nouveau : elle a déjà fait appel aux militants pour lui garnir le cerveau.
Benoît Hamon en cireur de pompes
Autre déçu par le livre de Berbert Delanoë, le député européen Benoît Hamon, par la grâce de Hollande. On en revient toujours au couple Ségollande. Le videur de pots Royal s'est dit "surpris" de "l'ode au libéralisme" du maire de Paris, une politique qui "semble aller à rebours de l'évolution de la gauche". Une contre-vérité, car dans le meilleur des cas , le PS ne bouge pas et attend une mort lente, si le prince charmant à la rose ne vient réveiller la ‘belle’ ( ?) endormie. Le député européen n’a donc pas pris la peine de lire Manuel Valls dans le texte ?
Un point de vue partagé par Julien Dray, qui a fait de la campagne Royal le succès que l’on sait. Il se demande "pourquoi, tout d'un coup, les socialistes auraient peur de leur identité, de leur culture". C’est que les temps changent et que ce qui reste du PS est rétrograde.
A l'inverse, Elisabeth Guigou, proche de Lionel Jospin et donc de Delanoë, accorde à son candidat le mérite de vouloir "installer le débat d'idées" avant de se déclarer candidat à la tête du parti, à l'inverse de Désirdavenir. Il ne faut pas lui en vouloir : Royal fait ce qu'elle peut avec ce qu’elle a.
A l'inverse, Elisabeth Guigou, proche de Lionel Jospin et donc de Delanoë, accorde à son candidat le mérite de vouloir "installer le débat d'idées" avant de se déclarer candidat à la tête du parti, à l'inverse de Désirdavenir. Il ne faut pas lui en vouloir : Royal fait ce qu'elle peut avec ce qu’elle a.
VOIR et ENTENDRE pour sourire en coin: le commentaire de Laurent Joffrin, agréé par Delanoë soi-même !
Un entretien entre Laurent Joffrin, directeur de Libération, et Bertrand Delanoë, maire de Paris, qui vise désormais la direction du PS.
Selon Joffrin, "l’audace du livre, outre l’exploration des coulisses de la politique, consiste à sortir de la rhétorique des congrès socialistes pour décrire une politique contemporaine, quitte à laisser en route un certain nombre de dogmes et de tabous".
Un entretien entre Laurent Joffrin, directeur de Libération, et Bertrand Delanoë, maire de Paris, qui vise désormais la direction du PS.
Selon Joffrin, "l’audace du livre, outre l’exploration des coulisses de la politique, consiste à sortir de la rhétorique des congrès socialistes pour décrire une politique contemporaine, quitte à laisser en route un certain nombre de dogmes et de tabous".
Hamon, le petit cireur de pompes , n’est plus tout seul. Et quand on pense que Royal nous a fait le coup de l’orpheline de la presse…
Touche pas à mon Delanoë: il est déjà retouché
Ariel Wizman vend la lessive du PS sur Canal+
Du blanchiment de candidat, ou Libération ne s'y connaît pas.
Ariel Wizman vend la lessive du PS sur Canal+
Du blanchiment de candidat, ou Libération ne s'y connaît pas.
Joffrin, ridicule, comme d’hab… Et mono-maniaque, Nicolas Domenach, le déviant, voit Sarkozy partout, jusqu’en couverture du bouquin de Delanoë, le « bling-bling » übersexuel du Marais socialiste, revu, corrigé et re‘bronzé’.
Delanoë retouché? envoyé par ZappeurLePost
Heureusement qu'il y a son nom sur la couverture: le Maire de Paris est totalement méconnaissable-- je n'exaggère absolument pas.
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