mardi 25 septembre 2007

Discrimination physique: Benoît Hamon abaisse encore le PS

Hamon est frappé par « le syndrome du grand homme »
Chaque génération de socialistes possède son Frèche...
Il faut pouvoir tout VOIR et ENTENDRE ?

Sarko victime du syndrome du petit homme

Qui est le plus bas, croyez-vous, du PS et de Sarkozy?
Il n'est pas PC (Politiquement Correct) de dénigrer les obèses, les déviants sexuels ou les oreilles décollées, mais il est PS (Politiquement Scandaleux) de moquer le physique du Président, comme de toute personne. Les socialistes ne s'élèvent évidemment pas en critiquant la taille du président élu pour ne pas célébrer sa réussite. L'apparence l'emporte sur les faits, quand c'est plus pratique et que l'opposition est aux abois.

Voyons quelques exemples:



Découvrons l’homme providentiel du PS qui s'est enfin rendu célèbre pour sa bassesse…
Benoît Hamon est né en juin 1967 dans le Finistère. Député européen depuis 2004, parmi 72 autres Français(es), il n’a exercé aucun mandat électif auparavant... Dans l'attente d'une décision du Conseil permettant les élections directes, les membres du Parlement européen ont été désignés au sein des parlements nationaux selon la procédure fixée par chaque État membre. Les députés européens sont élus en France au suffrage universel pour 5 ans au scrutin proportionnel à un tour. Autant dire que le scrutin de liste a été favorable à la percée de B. Hamon, par la grâce de Lionel Jospin, plus que pour son mérite personnel... Il débuta en effet sa carrière en 1991 comme assistant parlementaire de Pierre Brana, un député socialiste de la Gironde. Jeune rocardien, il devint le Premier Président d'un Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS) qui devint avec lui statutairement autonome du Parti Socialiste en 1993 (Congrès d'Avignon), alors que Michel Rocard en est le premier secrétaire. Il est fait conseiller pour la Jeunesse auprès de Lionel Jospin, premier secrétaire du PS de 1995 à 1997. Il entre ensuite au cabinet de Martine Aubry, ministre de l'Emploi et de la Solidarité, comme conseiller technique chargé de l'emploi des jeunes (1997-98), puis comme conseiller chargé des affaires politiques (1998-2000). Il a été planqué à l'institut de Ipsos
(institut de sondages) en qualité de directeur du planning stratégique de 2001 à 2004.
Membre du Parti socialiste (France) depuis NPS, après les manifestations lycéennes contre la loi Devaquet, il est président et fondateur du Mouvement des jeunes socialistes (France) de 1993 à 1995, puis devient membre du bureau national du PS, animateur de Nouvelle Gauche et co-fondateur et porte-parole du courant Nouveau Parti socialiste (NPS), avec Montebourg, un autre spécialiste des écarts de langages.
Il est élu conseiller municipal de Brétigny-sur-Orge, non pas dans la Gironde, mais en région parisienne ( Essonne) en 2001, puis –sans transition- député européen en 2004. Partisan du "NON" au Référendum sur la constitution européenne sur le Traité Constitutionnel Européen, il se prononce en faveur de la synthèse lors du Congrès du Parti socialiste au Mans le 20 novembre. Il est nommé Secrétaire national du PS, chargé du projet européen le 28 novembre 2005.
En tant que député européen sans avoir été député national, il est également fait membre de la commission des affaires économiques et monétaires, membre suppléant de la commission du marché intérieur et de la protection des consommateurs, Vice-président de la délégation pour les relations avec les États-Unis, et membre suppléant de la délégation pour les relations avec Israël.
Une belle carrière d’apparatchik, par cooptation et promotion interne, sans compétence particulière.
En 2006 , il a soutenu Laurent Fabius à l'investiture du PS pour l'élection présidentielle.
Démontrant le grand vide en cerveaux tout frais tout roses au PS, en mai et juin 2007, il est fait porte parole du PS pour les élections législatives. En juillet, il fonde un cercle de réflexion, La Forge, que tout le monde connaît…
Il est également amateur de rugby ce qui est fait pour impressionner quiconque n’a pas été face au gabarit de cet ailier.

Si les diplômes offraient une garantie de compétence, Philippe Bilger écraserait logiquement Hamon de son mépris, plutôt que Rachida Dati. Mais la licence d'histoire à bac +3 confère néanmoins à l’immense Hamon une compétence insoupçonnée en psychanalyse, puisqu’il ne s’interdit pas d’en faire à ses moments d’égarement. Le porte-parole du Parti socialiste déclara ès-qualités, vendredi 21 septembre, à propos du vainqueur de la Présidentielle:" En psychanalyse, c'est ce qu'on appelle le syndrome du petit homme, qui considère que tout ce qu'il fait est plus grand que tout ce qui est jamais arrivé." La ‘république du respect’ a fait un grand pas en arrière… C’est après avoir ironisé devant la presse sur la présentation, par le chef de l’Etat la veille sur TF1 et France 2, du "pacte social", que Benoît Hamon s’est disqualifié lamentablement, alors qu’il se pose en candidat potentiel à la présidentielle de 2012.
Benoît Hamon a ensuite tenu à préciser qu'il ne faisait pas référence à la taille du chef de l'Etat.
"Ce n'est évidemment pas la taille mais la communication présidentielle qui est en cause et son obsession à vouloir toujours expliquer que ce qu'il fait est toujours le plus grand, le plus beau qui a été fait depuis cinquante ans", a-t-il tenté de rectifier.

Autre attaque lancée sur un ton symptomatique du climat de bassesses au sein du PS, sans viser personne donc ? Benoît Hamon a commenté la volonté du président de conforter le premier ministre, en affirmant : "En bon père de famille, Nicolas Sarkozy a distribué des câlins, un gros câlin à François Fillon, ce qui veut dire qu'il a dû avoir un gros chagrin avant." Chacun jugera du niveau de réflexion atteint rue de Solférino. Les socialistes ne décollent pas du comptoir où ils noient leur chagrin. Comment s’étonner de cette nouvelle Brève de Comptoir.

Admettons à sa décharge que celui qui se rêve ailier de rugby a pu se pencher sur le sujet qui le tourmente personnellement, vu son imposante stature qui n’a d’égale que son immense culture et que cette publication –brève mais dense- lui ouvrira les portes du CNRS...

"CE N'EST PAS LA TAILLE QUI EST EN CAUSE", assure Benoît Hamon qui conserve encore un (double, serait inutile) décimètre, comme à l'adolescence, à portée de poignet.

Au PS, la grandeur se mesure en centimètres...

CHABAL, PRESIDENT

pour que la gauche n'ait plus peur...

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