dimanche 29 avril 2007

Débat Royal-Bayrou: Royal prête le flanc à la critique

Une aventurière qui se cherche une personnalité…

Royal prête à vendre son âme (?) dans sa quête aux voix des électeurs indécis.


La candidate PS essaie de séduire le PD de Bayrou, bien que son Parti Démocrate n'ait aucune réalité, en dehors de sa pauvre tête: ses amis ne sont pas intéressés par ce nouveau truc! Mais pour attirer les UDF égarés qui n'ont pas encore fui le parti sabordé par Bayrou , Royal prend le risque de se dégager du carcan du PS et affirmer son autonomie pour ne pas rendre compte du bilan des gouvernements dans lesquels elle a fait de la figuration.

Royal a fait état d'une possible virage: "Je ne suis pas une femme de dogme, je suis libre", prétend celle qui est prisonnière de l'opinion. Et tout cela sans bien sûr se prévaloir de son genre, sans brandir son sexe!… Femme ou candidate, oui ou non ? Socialiste, oui ou non ?


Nicolas Sarkozy, en déplacement avec Jean-Louis Borloo à Valenciennes (Nord), a ironisé sur la tenue de la rencontre Royal-Bayrou où le médiatique a pris le pas sur le politique.

"C'est symbolique, il y en a deux dans un grand hôtel parisien et nous deux sur le terrain. Moi, ce qui m'intéresse, c'est rencontrer les Français, ce ne sont pas les combines d'états-majors", a-t-il déclaré.


Bernard Accoyer, président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, a parlé de "supercherie", Valérie Pécresse de "stratagème". "En matière économique, Ségolène Royal avait un comportement très 'petite fille' vis-à-vis de son professeur et je ne pense pas que ça crédibilise sa candidature", a estimé la porte-parole de l'UMP.


Bayrou et Royal, qui avaient fait état -sans preuves- de pressions exercées par Nicolas Sarkozy sur la presse régionale et Canal+ qui ont démenti, avec indignation , lors de la mise en place des deux premiers cadres envisagés puis écartés pour ce débat, se sont prononcés pour une loi qui réglementerait la place des groupes financiers dans la presse.


Le sectaire quotidien Libération, en mal de dévouement, publie samedi 28 une enquête où il rappelle que Martin Bouygues, dont le groupe contrôle TF1, était le témoin de mariage du candidat de l'UMP. En toute objectivité, Libération tait qu'il est la propriété d'un Rothschild, pour ne pas avoir à témoigner qu'on peut étre dépendent du grand capital, mais libre... Un article qui déconsidère donc le quotidien sauvé d'une mort annoncée par ... un banquier !


Un analyste a estimé que Sa Cynique Majesté Royal était encouragée à la démagogie et contrainte de tenter le débat avec le président de l'UDF. "C'est ce qu'il fallait faire pour qu'il y ait une chance que ça marche. Si elle ne fait pas ça, elle arrivera à 40%, peut-être 45, mais pas plus", a tenté de justifier le politologue, Dominique Reynié, devant l'agence militante Reuters,


comme Yahoo! Et le grand capital socialiste dans tout cela?


L'arithmétique du respect socialiste des électeurs...

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