dimanche 18 mars 2007

Rachida Dati, porte-parole UMP

La diversité n'est pas un mot creux à l'UMP.
Rachida Dati, avec le ministre de la Santé Xavier Bertrand, est porte-parole du candidat UMP, Nicolas Sarkozy.
Cette belle femme est une personnalité attachante qui ne symbolise en rien l'assistanat. Bien au contraire, Rachida Dati est déterminée, méritante et fidèle. Rien de commun, par conséquent, avec les quelques produits frelatés du marketing politique socialiste propulsés sur la scène politique, à l'occasion des échéances électorales à venir, pour leurrer les agités des cités en attende d'aides diverses et variées, au vu de leur couleur de peau. Najet Belkacem a en effet des parents marocains. Elle est élue régionale socialiste de Rhône-Alpes et candidate aux législatives face à l'UMP Dominique Perben. Sa nomination dans l'équipe de campagne de Sa Cynique Majesté Royal est une réponse improvisée à l'émergence naturelle de Rachida Dati: les socialistes ont fait de Mme Belkacem un antidote à la porte-parole de l'UMP, dû par ailleurs aux doubles pressions du maire de Lyon, Gérard Collomb, et de la "communauté" marocaine, qui estimerait que les "Algériens" sont surreprésentés au PS. Pas de 'communautarisme', ni d'électoralisme racoleur au PS ?
Rachida Dati n'a jamais considéré qu'être issu(e) de l'immigration prédestine à tomber entre les mains de la gauche, qu'elle soit, ou non, extrême. Voici une présentation Wikipédia de la porte-parole issue de l'immigration:
Rachida Dati, née le 27 novembre 1965 à Saint-Rémy, est une personnalité politique française, porte-parole du candidat de l'UMP à l'élection présidentielle française de 2007, Nicolas Sarkozy.
Née d'un père marocain maçon et d'une mère algérienne, seconde de douze enfants (elle a quatre frères et sept sœurs), elle passe son enfance dans une cité de Chalon-sur-Saône, élève dans un lycée privé catholique.
À vingt ans, elle aborde Albin Chalandon, ministre de la justice, pour lui parler de son avenir, lequel lui demande une lettre de motivation et lance sa carrière politique.
Elle travaille dès seize ans comme aide-soignante de nuit, puis trois ans comme comptable chez Elf (tout en poursuivant son DEUG). Elle travaille ensuite à la direction de l'audit de Matra communication, puis un an à la Banque européenne pour la reconstruction et le développement, toujours dans l'audit.
À son retour, Marceau Long et Simone Veil l'incitent à entamer une carrière de magistrate ; elle entre à l'école nationale de la magistrature où elle étudie de 1997 à 1999. Simone Veil lui prête même sa robe pour prêter serment. Elle est en poste comme juge à la cour d'appel d'Amiens puis comme substitut du procureur au tribunal d'Evry.
En 2002, elle devient conseillère de Nicolas Sarkozy chargée de l'immigration. Elle travaille sur la loi sur la « prévention de la délinquance ». En décembre 2006, elle s'inscrit à l'UMP.
Elle est nommée le soir du dimanche 14 janvier 2007 porte-parole de Nicolas Sarkozy, désigné le même jour candidat du parti UMP pour l'élection présidentielle française de 2007.
Le Monde, qui n'est pas Sarkoziste, n'en déplaise à la gauche malveillante, s'est intéressé à elle, comme tout le monde... Voici l'article publié le 15 Décembre 2006 par Philippe Ridet:
Rachida Dati, porte-parole idéale du candidat Sarkozy C'ÉTAIT l'autre vedette du jour, mercredi 13 décembre, place Beauvau. Accueillant les participants de l'opération « le ministre de l'intérieur accueille les jeunes », intervenant au micro des radios et des télévisions, Rachida Dati, conseillère de Nicolas Sarkozy, a veillé à ce que l'événement soit un succès pour son patron. Et pour elle. Il s'agissait aussi d'un test pour cette magistrate à la quarantaine élégante et rieuse, accueillie en juin 2002 dans l'entourage du ministre de l'intérieur. Le candidat de l'UMP envisage d'en faire sa porte-parole. Elle rejoindrait ainsi le ministre de la santé, Xavier Bertrand, lui aussi pressenti, comme l'a révélé Le Parisien. Les conseillers de M. Sarkozy se contentent de lâcher un "rien est fait" qui sonne comme une quasi-confirmation. "C'est une idée qui chemine", dit-on à l'UMP. L'intéressée ne cache pas l'attention dont elle est l'objet. Ni la crainte que lui inspire l'emploi. "Si c'est pour prendre des coups, je n'en ai pas trop envie", dit-elle, avec un brin de fausse timidité. Pourtant elle connaît la gauche : approchée par Bernard Kouchner, elle a figuré sur l'ébauche de liste Rocard aux européennes de 1994. Pour M. Sarkozy, cette promotion d'une femme issue de l'immigration est une aubaine face au PS qui l'accuse de machisme et le croit incapable de mettre en oeuvre sa "discrimination positive". Originaire de Chalon-sur-Saône, issue d'un famille algéro-marocaine de douze enfants, Mme Dati est pour le ministre le symbole de son volontarisme. Ambitieuse, fière de son parcours, "carriériste", disent ceux qui ne l'aiment pas, Mme Dati préférerait être reconnue sur sa compétence. Elle combat les clichés. Ecrit-on qu'elle est chargée des "questions d'intégration" (Le Monde du 13 décembre), elle corrige aussi sec : "Je m'occupe de la prévention de la délinquance. Ici, ce ne sont pas les Arabes qui s'occupent des Arabes." Son ascension fait quelques jaloux. Et quelques anxieux. "Sa nomination plaira à la presse, lâche un conseiller du ministre un peu inquiet. Mais plaira-t-elle aux Français ?"
Question saugrenue !
Libération proposait le 17 janvier 2007, par Vanessa Schneider, qui n'est pas une sympathisante..., un portrait de la porte-parole de Nicolas Sarkozy, intitulé:
Rachida Dati, le modèle

C'est la figure parfaite de l'intégration heureuse. Volontaire et travailleuse, cette brune piquante de 41 ans est érigée en modèle par Sarkozy. Fille d'un père marocain et d'une mère algérienne qui ont eu douze enfants, elle a grandi dans une HLM de Chalon-sur-Saône (Saône-et-Loire), faisant le ménage avec sa maman analphabète. Multi-diplomée [au mérite] (sciences éco, droit, Ecole nationale de la magistrature), elle a travaillé comme aide soignante pour se payer l'université [sans allocation à l’autonomie ?]. Devenue magistrate en 1999, elle a été affectée dans différents tribunaux, d'abord auditeur de justice au tribunal de grande instance de Bobigny puis substitut du procureur de la République au TGI d'Evry. Agacée par la gauche qui considère, selon elle, les enfants d'immigrés, comme nécessairement proche[s] d'elle, elle a spontanément proposé ses services à Sarkozy. Culottée, elle l'a, à plusieurs reprises, sollicité avant de pouvoir le rencontrer. Le ministre de l'Intérieur a été séduit par sa détermination et a très vite compris l'intérêt qu'il avait à attirer dans son giron des personnalités issues de l'immigration [contradiction avec ce que Le Monde écrit deux phrases plus haut « Culottée, elle l'a, à plusieurs reprises, sollicité avant de pouvoir le rencontrer.]
Discrète et efficace, Rachida Dati a exercé plusieurs fonctions auprès du ministre. Elle s'est notamment chargée des liens avec les jeunes et a travaillé sur le projet de loi sur la prévention de la délinquance. Totalement dévouée à Sarkozy, elle s'est mise en disponibilité du ministère de la Justice dont elle dépend pour se consacrer au porte-parolat. Pour assurer cette fonction, elle a été coachée par des professionnels des médias pour parler en public.
(Mise en page PaSiDupes)

1 commentaire:

  1. Tout ce que vus avez fait esst parfait et je l'admire en tant qu'avocat de 25 n sd'ex^perience, vous êtes charamantes déterminées la voie douce, un rêve danza cette profession trés dur dans ses rapports avecs les juges, nul doute que sarkozy vous ai choisi pour vs qualités, y compris d'ouvertures Pascal@wanadoo.fr

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