lundi 4 septembre 2006

L'UMP s’adresse aux jeunes.
C'est une UMP pacifiée et rassemblée qui s'est présentée à Marseille.Tandis que Madame Royal dédaigne de dialoguer avec les siens, dont ceux du Mouvement des Jeunes Socialistes (MJS), qui l’avaient invitée à son université d’été à La Rochelle,
Nicolas Sarkozy s’est adressé aux jeunes de France depuis la tribune de l’université d’été de l’UMP à Marseille ce week-end.
"Je vous demande de m'aider à agir si vous ne voulez pas subir", a-t-il lancé dimanche à quelque 6.000 personnes, en majorité de jeunes militants, réunis au parc d'exposition de Marseille. "Je suis venu vous demander d'être l'âme du changement, d'être les acteurs d'une rupture dont je suis certain qu'au fond de vous-même vous l'appelez de vos voeux", a-t-il ajouté.
"Je suis venu vous proposer de construire ensemble une société où chacun recevra selon son mérite et où chacun aura sa chance", a-t-il lancé dimanche à l'adresse de ces jeunes.Le langage militant de Reuters, sensé être impartiale, est défavorable, dans un souci de neutralité politique... De manière très partisane, l’agence de presse réserve à la Maréchale Me-Voilà-M’As-Tu-Bien-Vue des termes positifs et à Sarkozy ceux de ‘opération séduction’, ‘dominateur’, 'déclarations à l'emporte-pièce’, etc… et souligne pour le condamner le propos très clairs et fermes de Doc Gynéco : Reuters préconise implicitement, mais clairement la démagogie, exprimant ainsi un jugement très peu flatteur sur la jeunesse.
A l’inverse, Nicolas Sarkozy a lancé un appel aux jeunes de banlieue issus de l'immigration : "La France est votre pays (...) Aimez la France parce que la France le mérite (...) Battez-vous pour construire et non pas pour détruire."
Abreuvés jusqu’à l’écoeurement du flot de la propagande socialiste de Flamby 1er et des photos posées sous tous les angles de Madame la Maréchale Royal, les jeunes de France ont pu faire la différence entre des meneurs incapables de ‘booster’ d’une jeunesse triste, aigrie et assistée et les champions d’une jeunesse souriant à l’avenir.
Las du flou de Madame Royal et de la mollesse du 1er secrétaire du PS, les jeunes présents, qui n’ont subi ni le prisme déformant de Reuters, ni le filtre des commentaires tendancieux de la presse, auront été dynamisés par le discours du n°1 de l’UMP.
"Tout est possible si on le veut. Et ici, à Marseille, je suis venu vous dire que nous le voulons (...) plus que jamais, plus que quiconque ne l'a jamais voulu", a lancé Nicolas Sarkozy en conclusion de son discours de dimanche.

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