tag:blogger.com,1999:blog-24296974.post7943296257323831779..comments2024-03-23T10:20:38.971+01:00Comments on PaSiDupes: Le malade a eu sa chance, pas la joggeuse violéePakoolhttp://www.blogger.com/profile/10405855101541576707noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-24296974.post-49434967121602652392010-09-09T11:46:29.006+02:002010-09-09T11:46:29.006+02:00Le problème n'est pas d'admettre ou non qu...Le problème n'est pas d'admettre ou non que le criminel est un malade.<br /><br />La maladie n'est pas une excuse. <br />Il faut aussi être malade pour tirer sur les flics ou même insulter une pauvre vieille, un prof ou ses parents. Nous sommes d'ailleurs tous des malades pour avoir, ne serait-ce qu'une fois, injurié un automobiliste. C'est être malade que de ne pas être capables de maîtrise de soi et que de faire courir un risque aux autres. On peut détecter un cancer, mais il ne faut pas tenter de détecter un jeune psychopathe...<br /><br />Quand la maladie conduit à l'addiction au crime, avec barbarie ou non, halte là ! Les grands dictateurs étaient aussi des tueurs en série, de Hitler à Staline en passant par Pol Pot et rares sont ceux qui les excusent. <br /><br />Lorsque des malades commettent des crimes multiples, de la série au génocide, la prison y peut-elle quelque chose? Auriez-vous été partisan de la liberté conditionnelle pour Hitler? <br /><br />La peine de mort vous irait-elle pour Staline ou Pol Pot? La société doit-elle attendre -les bras ballants- que les grands malades atteints d'"idéologite" aigüe s'auto-détruisent, comme Hitler ? Notez bien, ils auraient peut-être pu "vivre normalement sans menacer la société" !...<br /><br />La maladie des médecins et des tribunaux sadiques, c'est de déclarer les barbares responsables.<br /><br />Il vaut mieux prévenir que sévir ! <br />Il vaudrait mieux en effet, mais, si on veut être cohérent, il ne faudrait alors tout faire pour détecter un psychopathe. Or, la prévention bloque déjà aux portes de l'enfance alors qu'un dépistage 'préventif' précoce pourrait encore guérir (ou apaiser) les malades et sauver des vies humaines. Alors pensez à faire rentrer les personnes vulnérables de votre entourage et vos joggeuses avant de regretter qu'une véritable prise en charge (c'est quoi?) de leur agresseur, une écoute (avez-vous des éléments?), une structure probablement(?) encore à inventer et des vocations (plutôt que du bla-bla) n'aient pas vu le jour... Après le premier crime, une prise en charge, une écoute et une structure (trois mots pour la même chose...), c'est déjà trop tard pour la victime, dont vous ne dites pas un mot. <br /><br />Vous êtes sans doute un(e) jeune idéaliste, humaniste et "rêviste" de quinze ans et je vous souhaite encore de nombreuses belles heures de vol: delta plane ou planeur? Va pour le sky surf ! Et, dans les nuages, gardez une pensée pour la jolie Natacha, 29 ans...Julien Bourgeoisnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-24296974.post-88172354330667676572010-09-09T10:29:54.745+02:002010-09-09T10:29:54.745+02:00Il y a contradiction dans votre discours : vous re...Il y a contradiction dans votre discours : vous regrettez (à juste titre) la libération du violeur, tout en admettant, dans le titre, qu'il est malade.<br />Le problème n'est-il pas plutôt de mettre en prison des gens malades? Comment peut-on espérer qu'un enfermement carcéral puisse soigner une personne malade?<br />Je me fous que les violeurs soient "punis" (j'ai eu le droit, étant enfant, aux faveurs d'un pédophile, juste pour bien remettre mon propos dans le contexte), ce qui m'intéresse, c'est qu'ils puissent être soignés, qu'on leur propose une véritable prise en charge de leur maladie, une écoute, une structure probablement encore à inventer, quelque chose qui fasse que les hommes (et les femmes, il y en a aussi) qui souffrent de ce genre de pulsion puissent vivre normalement sans menacer le reste de la société.<br /><br />Et de ce point de vue-là, il vaut mieux prévenir que sévir, non?Agnès Maillardhttp://www.lesnouvellesnews.frnoreply@blogger.com