POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

vendredi 12 juin 2020

Macron envisagerait sa démission pour provoquer une élection anticipée

Cyniquement, l'arrogant Macron est sûr de sa ré-élection à la faveur du chaos

La politique est un jeu pour lui, comme l'avenir de la France et des Français
 
Le 'Black Jack'(jeu de cartes) tire son nom de l'anglais
"Valet Noir":
les indigénistes et racialistes racisés pourraient trouver à y redire

Lors d’une réunion du premier cercle des donateurs de 2017 à Londres, l'ex-banquier aurait laissé entendre qu’il est prêt à démissionner pour provoquer une élection anticipée qu’il serait "sûr de gagner",  a révélé Carl Méus dans Le Figaro.
En effet, il y a une quinzaine de jours, le chef de l’Etat aurait fait irruption au beau milieu d’une conversation, en visioconférence, et aurait pris la parole pendant cinq minutes pour distiller sa "pensée complexe".

Un remaniement changement de gouvernement, une dissolution de l’Assemblée nationale… et même une démission seraient la martingale politique imaginée par Macron, espérant tourner les trois pages de chaos social, politique et sociétal qu'il a écrites en trois ans et reprendre la main politiquement.  Une onde de choc de plus, sans attendre le chaos économique et une méga-dette publique que les Français auront à payer d'ici dix ans. 

D'abord, l’Elysée "n’écarte aucune hypothèse"...
Centré sur son auguste personne, Macron serait prêt à "prendre son risque", indique Le Figaro. Les participants témoignent en effet qu'au cours de cette visioconférence, le président a envisagé sereinement de provoquer, "dans les semaines ou les mois à venir", une élection présidentielle anticipée.
L’intention affichée est de prendre de court ses adversaires, selon le quotidien, ce qui le rendrait "sûr de gagner, car il n’y a personne en face ". Avant lui, Corneille observa qu'"à vaincre sans péril, on triomphe sans gloire," mais la lâcheté sied au cynique.

La stratégie "de la démission n’a jamais été à l’ordre du jour, ni même évoquée dans une réunion à l’Elysée," a expliqué le Palais, mais aussi que "par principe, [il] n’écarte aucune hypothèse"...

Si Macron choisissait cette option, ce serait un coup inédit 

Jamais un président en exercice n’a démissionné pour se représenter dans la foulée. Il s'agit en effet d'une opération risquée, un coup de poker, dirait Castaner: les électeurs pourraient avoir le sentiment qu'il leur manque de respect. Traités comme des marionnettes, ils pourraient refuser de voter à nouveau pour un guignol qui aurait volontairement abrégé son mandat. 
La campagne électorale serait en effet très courte, car l’article 7 de la Constitution précise qu’ "en cas de vacance, le scrutin pour l’élection du nouveau président a lieu […] 20 jours au moins et 35 jours au plus après l’ouverture de la vacance"
La décision du joueur Macron sera connue "dans les semaines ou les mois à venir".

La stratégie du lâche est de s'assurer les conditions pour que Marine Le Pen soit bien celle qui serait face de lui au second tour, et donc c'est tout à fait gagnable à nouveau. Il a donc conscience qu'il a tout raté mais compte désormais sur ce stratagème pour se remette en selle. Et parachever le ratage.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):