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mardi 10 janvier 2017

CNN et le New York Times, ou l'information nauséabonde que la gauche avale

Pour Trump, le modèle de la presse française a rechuté dans le caniveau

L'AFP et ses clients partisans (Le Monde, Libération, BFMTV, France Info, etc) recourent aussi aux attaques sous la ceinture

CNN, porteur d'Hillary Clinton, adore désormais Moscou. Et notre presse lui emboîte le pas ! Non contents de distiller la rumeur, les décrypteurs de presse de gauche lisent dans les pots de chambre. La presse d'alcôve aurait même reçu de son ennemi, Poutine, de quoi compromettre Trump... Le Canard enchaîné n'y avait pas pensé; Mediapart est admiratif. Le Monde et Libération se sentent petits...

Un rapport de 35 pages agite les media américains. Et ses suiveurs français. Présenté à Donald Trump par les renseignements américains, il contiendrait des informations compromettantes recueillies par Moscou sur sa vie intime. Or, cette presse exemplaire n'a pu vérifier ses sources, puisque le FBI commence à peine à engager les vérifications ds sources qu'il a lui-même diffusées, après avoir la charrue de la rumeur avant les boeufs de la déontologie
Le 31 octobre 2016, CNN a annoncé avoir mis un terme à sa collaboration avec sa commentatrice politique Donna Brazile, par ailleurs... présidente du Comité national démocrate, après la publication par WikiLeaks de courriels révélant qu'elle a communiqué à l'équipe de campagne d'Hillary Clinton des questions prévues pour un débat. Dans un des courriels, Donna Brazile déclare connaître certaines questions et offre d'en communiquer davantage.Lire PaSiDupes.
Le rapport évoque - sans preuves ni détails - une vidéo clandestine qui aurait été tournée à Moscou en 2013. Mais ce montage du FBI, largement acquis aux Démocrates, pourrait également éclabousser Barack Obama au moment de sa sortie de fonctions, parce qu'il fait fuiter pendant son second mandat des informations compromettantes non vérifiées,  mais classées défense, recueillies par la Russie sur le candidat républicain, devenu le prochain président américain. 
"Buzzfeed News publie en entier ce qui est présenté comme un document. Il contient des accusations, qualifiées de "révélations", sur des relations tarifées avec les femmes russes, "pour que les Américains puissent se faire leur propre idée", fusse à partir de montages sur le président élu et d'"allégations qui circulent parmi les plus haut niveaux du gouvernement américain", explique la publication, sans les nommer !, pour tenter de justifier un choix éditorial non pas sulfureux, mais à la fois calomniateur et diffamatoire. 
Comme le précise Buzzfeed, site d'information qui a rechuté dans la fange après s'être efforcé en 2011 d'accéder à la presse de qualité, que côtoie à la marge la journaliste media et divertissement Charlie Vandekerkhove (Fun radio, France Inter, BFMTV) et qui ne craint pas de goûter à ce pain-là.
Les sites francophones du type de BuzzFeed, diffusant des contenus de divertissement et d'"insolite", sont Melty, Topito, Koreus, Démotivateur, Minutebuzz, Konbini, ou Golem13.
Le rapport circule depuis plusieurs semaines dans les sphères politiques, de l'intelligence et des media (tous non spécifiés), ce qui, pour les journalistes du buzz, serait la preuve d'une quelconque validité, mais est surtout à dix jours de la prestation de serment du vainqueur d'Hillary Clinton. Il est composé d'une série de notes datées de juin à décembre 2016, rédigées par un ancien agent du contre-espionnage britannique. Elles auraient été préparées à l'attention des opposants politiques de Donald Trump. Jugé crédible par les éléments Démocrates du renseignement américain, le document est en cours de vérification par le FBI.
Le site Buzzfeed reste entaché par le scandale de juillet 2014, quand on découvrit qu'un de ses rédacteurs politiques, Benny Johnson, avait plagié d'autres sources (plus de 40 fois).
BuzzFeed a en outre dû avouer le 10 août 2014, qu'ils avaient reçu un financement de 50 millions de dollars d'un fonds américain de capital-risque.
Le 18 août 2015, le groupe bénéficie d'un financement de 200 millions de dollars du conglomérat de meédia américain NBCUniversal détenu par GeneralElectric, puis par le premier câblo-opérateur américain, Comcast, propriétaire du studio DreamWorks Animation.
Ce rapport évoque un secret de polichinelle : des liens de longue date entre le nouveau président américain et la Russie
 
Alors que Barack Obama, le président sensible de l'Etat le plus puissant de la planète, pleurait comme une madeleine en donnant cette nuit son dernier discours comme président des Etats-Unis, c'est un document de 35 pages fétides qui agite les media putrides outre-atlantique. C'est donc une chance que ce président ait promis une passation "douce" de pouvoirs...
 
Un rapport des chefs du renseignement américain a été divulgué à la veille de la première conférence de Donald Trump en tant que chef de l'Etat. Instrumentalisé par CNN, mais publié dans son intégralité par Buzzfeed seulement, ce mémo encore non vérifié a été lancé dans les jambes de Donald Trump vendredi par les chefs du renseignement américain, qui lui ont adressé sous la forme d'un résumé de deux pages, d'après CNN - chaîne de télévision qui avait froidement localisé Hong Kong en Amérique du sud, avant de chauffer, lors du G20 de 2011, en situant Cannes en Espagne du nord-ouest, et enfin de brûler en logeant l'Irak en Europe - et le New York Times - prestigieux journal de référence internationale, qui, en juillet 2008, censura pourtant une tribune de John McCain, au motif qu'il était candidat républicain à la présidence - ... Deux monuments qui en imposent néanmoins à la presse militante hexagonale républicaine et surtout... démocratique!  Les controverses ne sont pourtant pas exceptionnelles et récentes, puisque, dès 1930, le correspondant du NYT en Union soviétique, Walter Duranty, masqua aux Américains la famine organisée par Staline en Ukraine. 

La concertation d'une radio, CNN, et d'un journal, le NYT, apparaît une nouvelle fois au grand jour pour nuire au Républicain Trump, pendant sa campagne contre leur candidate Démocrate et depuis sa victoire sur Hillary Clinton dans la conquête de la Maison blanche. La vengeance est un plat qui se mange froid ou réchauffé. 

Ils lui ont aussi présenté leur rapport-maison, partiellement déclassifié, qui récapitule des opérations supposées de piratage informatique et de... désinformation pilotées par la Russie.

Donald Trump dénonce "une chasse aux sorcières". 
Buzzfeed avoue lui-même ne pas être en mesure d'authentifier le document qu'il publie in extenso ! Les notes de ce site de divertissement populaire, qui contiennent en particulier des informations sur une vidéo à caractère sexuel, une sextape, tournée dans un hôtel de Moscou clandestinement en 2013 par les services russes, afin de servir de moyen de chantage. Elle impliquerait des prostituées russes. 

Le document contient aussi des informations sur des échanges de renseignements supposés entre Donald Trump, certains de ses proches (non encore identifiés) et le Kremlin, qui auraient circulé dans les deux directions et pendant des années. 

Les zones d'ombre qui entourent pour l'heure ces informations n'appelent pas ses exploiteurs à la réserve... 
Elles agitent au contraire jusqu'à une certaine partie de la sphère politique et du Congrès. 
L'ancien porte-parole d'Hillary Clinton, Brian Fallon, a appelé le chef républicain du Sénat, Mitch McConnell, à autoriser une commission d'enquête spéciale. 
Obama se refuse toutefois à commenter ce qui serait un fuitage de ses services.

Donald Trump a exprimé son indignation sur ces salissures
"Fausses informations - une chasse aux sorcières totale !", a opposé le président élu, en lettres capitales sur son compte Twitter, tandis que les media français -farouches défenseurs du secret des sources- l'accusent,  sur la base d'allégations non vérifiées, de se mettre en colère et de manifester sa brutalité coutumière.  
En novembre 2016, Donald Trump avait pointé le New York Times, l'accusant d'être "malhonnête". "Ouah, le @nytimes perd des milliers d'abonnés à cause de sa couverture très mauvaise et hautement imparfaite du "phénomène Trump"", avait-il tweeté.
L'ex président de la Chambre des Représentants, Newt Gingrich, a fait valoir sur CBS que
Twitter est "une technique qui permet de toucher 13 à 14 millions de personnes gratuitement et de contourner le New York Times" ou les autres. D'où l'agressivité des media dans leur combat 
-notamment en France- pour éradiquer les adblockers (logiciels anti-pub) qui nous débarrassent des intrusions de la publicité commerciale.
Quelques heures plus tôt, l'avocat de la cible des media Démocrates, Michael Cohen, a qualifié ces informations de "ridicules, à plusieurs niveaux". 
Cité par ces notes, qui évoquent de manière détaillée un voyage qu'il aurait effectué à Prague pour y rencontrer des interlocuteurs russes, l'avocat a démonté les accusations sur son compte Twitter. "Je ne suis jamais allé à Prague de ma vie !", a-t-il affirmé.
Sauf si, selon lui, Prague est en République tchèque et non en Australie...

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