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mardi 28 octobre 2014

Drame du barrage de Sivens: après coup, l'extrême gauche manifeste dans une dizaine de villes de France

EELV et anarchistes ensemble dans la rue, 
après la mort violente d'un camarade écolo

Les manifestants ont mis le drame à profit dans u
ne dizaine de villes de France
Ni oubli, ni pardon rappelle étrangement
"ni dieu, ni maître"...
Anti-républicains, ces révolutionnaires prétextaient la mort tragique d'un des leurs pour se déployer sur la voie publique.
Près d'une dizaine de manifestations a eu lieu dans toute la France ce lundi 27 octobre pour protester contre la mort de Rémi Fraisse dimanche 26.
A Nantes, plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées en fin de journée aux abords de la préfecture -symbole du pouvoir central- pour "exprimer leur colère face à la violence d'État".

Les bisounours ont commencé par allumer quelques bougies devant la presse, 
Révolutionnaires encagoulés 
dans les rues de France, le 27 octobre 2014
puis les anars ont déployé des banderoles, proclamant notamment: "Vos armes non létales tuent. On oubliera pas. Résistance" ou "Nantes-Toulouse-Montreuil. Solidarité contre les violences policières". "On se recueille, on imagine le drame que ça peut représenter pour la famille et les amis. On a la rage contre les forces de police qui sont de plus en plus brutales", a clamé Yvon, 66 ans, membre du comité de soutien contre l'aéroport NDDL
Les activistes haineux ont ensuite entamé un défilé dans les rues de la ville derrière la banderole: "Barrage Testet. Mort de Rémi. Ni oubli ni pardon ACAB" (All cops are bastards), avec la volonté dans découdre.


Manifestations à Rennes, Nantes, Brest, Chambéry, Strasbourg et Marseille

A Rennes, ils étaient plus de 200 autour d'une banderole sur laquelle était écrit: "La police tue, appel à la révolte", puis ces républicains sont partis manifester dans les rues, jetant des pétards et scandant: "Flics, porcs, assassins !"
Place de l'Hôtel de ville à Paris, une centaine de militants se sont réunies et ont allumé des bougies. Un pancarte proclamait : "Pour Rémi, ni oubli ni pardon ".
Oseront-ils construire un barrage sur un cadavre ?
interpellait une banderole de manifestants à Marseille
A Brest, toujours en Bretagne, que les "Bonnets rouges" ont enflammée, une centaine de manifestants se sont atroupés place de la liberté, dans le calme. 
Scène marseillaise...
Ils étaient également une centaine rassemblés en fin d'après-midi sur le Vieux Port à Marseille - et donc dans le voisinage de la mairie - à l'appel notamment d'Europe Écologie-Les Verts. Parmi les banderoles on pouvait lire : "Oseront-ils construire un barrage sur un cadavre ?" ou encore "aucun barrage ne vaut la mort d'un homme - Hommage à Rémi" et "Contre le barrage du Tarn, faisons de la résistance".
Mais la presse s'auto-censure et ne montre pas tout, comme ci-dessus à Marseille, à l'appel d'EELV, faut-il le rappeler.

A Strasbourg, une trentaine de militants écologistes se sont rassemblés dans le silence devant la préfecture du Bas-Rhin en brandissant une pancarte : "Hommage à Rémi Fraisse".

A Chambéry
, ils étaient une cinquantaine dans le calme vers 18h00
devant la préfecture de Savoie pour "protester contre les mesures répressives disproportionnées à l'encontre des citoyens [pour la démagogie] qui dénoncent des projets inutiles, des conflits d'intérêt et des collusions [pour l'idéologie]". Nombre d'entre eux brandissaient des pancartes pour protester contre le projet de ligne ferroviaire à grande vitesse Lyon-Turin.
Poitou-Charentes ne connaît plus la résistance
 des guérilleros  altermondialistes
Tout aussi étrange, on ne rapporte pas que la Confédération paysanne de José Bové (EELV), alliée de Ségolène Royal en Poitou-Charentes, faisait la même récupération à propos de la portion d'autoroute Fontenay-le-Comte (Vendée)-Rochefort (Charente-Maritime), en zone humide du marais poitecin...

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