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vendredi 4 juillet 2014

Mise en examen: Léonard Trierweiler provoque Louis Sarkozy sur Twitter

Les fils de... s'interpellent

Le fils de l'ancien président avait pris le parti de son père,


Le fils cadet de l'ex-concubine de Hollande
démarche remarquable de la part d'un adolescent.

Mais de quoi se mêle Léonard Trierweiler, qui n'est pas concerné, quand il va chercher Louis Sarkozy par tweet

Le boutonneux Léonard Trierweiler (ci-contre) a répliqué par un tweet adressé à Louis Sarkozy dans lequel il apporte sa caution personnelle à l'impartialité des magistrats dans le procès -fait à certains membres du SM - syndicat très minoritaire - contre une instrumentalisation politique de la justice.

Une "baston" numérique

Louis Sarkozy et Léonard Trierweiler ont en commun d’avoir le tweet facile.
Les deux adolescents ont tous les deux réagi à la mise en examen de Nicolas Sarkozy, mais pas de la même manière. Dans un premier temps, c’est le fils de l’ancien président qui avait pris la défense de son père dénonçant "l’acharnement" dont l’ex-chef de l’État fait l’objet. 
Hier, le fils de l’ex-première dame a lui apporter la contradiction. Dans un tweet adressé à Louis Sarkozy, Léonard Trierweiler a assuré l’autre adolescent que "l'appartenance syndicale n'empêche pas un juge d'être impartial", répétant Libération !  Tout comme l'appartenance familiale. 
Une réplique sous forme de leçon à laquelle était joint un lien (cassé!) censé mener à un entretien proposé par Libération à Matthieu Bonduelle, le secrétaire général du SM, Syndicat de la Magistrature. Pour l’heure, le fils de Nicolas Sarkozy a laissé couler.

Léonard Trierweiler, 16 ans, a également sévèrement commenté l'intervention télévisée de Nicolas Sarkozy. Dans un autre tweet, l'ado fait la leçon, déclarant qu'un journal télévisé n'est "pas un prétoire".
 

Léonard, 16 ans, est le 3e fils de Valérie Massonneau comme épouse (1995-1998) de Denis Trierweiler, secrétaire de rédaction à Paris Match, son employeur.


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