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mercredi 18 septembre 2013

Far-west à Paris: réglement de comptes à l'arme blanche entre bandes devant un lycée

Attroupement armé d'une quarantaine: 25 jeunes en garde à vue

Vers 12h30 mardi 17, "plusieurs jeunes s'amassaient devant
 mon établissement, l'air hostile, certains porteurs d'armes blanches,"
Feuille de boucher
a remarqué le proviseur du lycée Edgard-Quinet, situé rue des Martyrs dans le IXe arrondissement de Paris, dont le maire est Jacques Bravo, PS. Le chef d'établissement a alors fait appel aux forces de police, confirmant une information de RTL qui titre sobrement "26 suspects interpellés devant un lycée parisien".

🔴VIOLENCE PARIS Les 25 jeunes interpellés devant le collège E.Quinet (9e), étaient porteurs de sabres japonais, feuilles de boucher,couteaux
— infos140 (@infos140) September 17, 2013

Les renforts de plusieurs brigades anti-criminalité (BAC) des secteurs voisins ont été nécessaires pour maîtriser cet attroupement géant. La police est parvenue à interpeller les jeunes "avant qu'il n'y ait eu de bagarre", Vingt-six des quarante belligérants, dont certains munis de battes de base-ball, de couteaux et de béquilles, ont été interpellés et placés en garde à vue après s'être regroupés devant un lycée parisien, pour une rixe préméditée
VOIR et ENTENDRE une démonstration de parades d'attaque à la béquille:

Haine et vengeance pour justifier cette opération

Venus du 
XVIIIe arrondissement voisin de Daniel Vaillant, ancien ministre de l'Intérieur laxiste de Lionel Jospin, ces "jeunes" voulaient en découdre avec un "jeune" de 16 ans scolarisé dans le lycée.
"Mais le motif exact n'est pas connu", ont assuré des sources policière et judiciaire.
A la presse devant son établissement, Jean-Claude Devaux, le proviseur a affirmé ne pas savoir quel est l'élève visé, tout en en précisant l'âge. Les jeunes interpellés ne sont pas scolarisés dans son lycée, a-t-il indiqué.

"On voyait que les jeunes couraient. Mais on n'a pas vu d'armes. On a vu une agitation, une excitation exacerbée par les uns et les autres, ça a duré assez longtemps", a expliqué un commerçant à proximité du lycée. 

"J'ai vu un sabre, des extincteurs. Le rassemblement a duré à peu près 20 minutes. Mais il ne s'est rien passé. Quand les gamins ont démarré, ils ont vu qu'il y avait les flics", a précisé un autre commerçant, sous couvert d'anonymat dans la crainte de représailles.

Le proviseur du lycée a déclaré -comme il se doit- que la police, une fois prévenue, avait "réagi immédiatement, dans les 5 minutes", permettant ainsi d'appréhender "immédiatement" les jeunes.

"Aucun élève n'a été ni touché ni blessé, ni n'a fait partie de" cet attroupement, a-t-il précisé, qualifiant cet événement d'"exceptionnel". "C'est la première fois que cela nous arrive", a-t-il dit, assurant que "rien de particulier" ne s'était passé dans son établissement pouvant "annoncer cela".

La police a dans un premier temps parlé de 26 jeunes interpellés, "sur le motif d'attroupement en bande armée", selon le commissaire de police du IXe arrondissement, Laurent Mercier, qui s'est exprimé au côté du proviseur.
Selon une source judiciaire, 25 jeunes ont finalement été placés en garde à vue: 23 mineurs et deux majeurs.
Ils ont été placés en garde à vue "à la demande du parquet", a précisé la source policière.


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