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vendredi 21 juin 2013

Deux Femen interpellent le président au Bourget

Inéquité socialiste: Femen, rebelles et violentes, mais impunies

Deux Femen hystériques ont manifesté seins nus 



au passage de François Hollande, ce vendredi au salon du Bourget, avant d'être rapidement maîtrisées et menottées par les services de sécurité. 



VOIR et ENTENDRE l'interpellation des Furies d'extrême gauche:


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Les deux anarchistes féministes portaient sur leur dos l'inscription "Fly away from Islam" (Eloignez-vous de l'Islam). 

Ces para-militaires, entraînées dans un camp situé dans le 18e arrondissement de Paris, ont eu le temps de crier les prénoms de deux Françaises de l'organisation condamnées et emprisonnées en Tunisie pour avoir manifesté seins nus et peint "FEMEN" sur le muret d'un cimetière musulman pour protester contre un rassemblement salafiste à Kairouan. Avec une militante allemande, les rebelles ont été condamnées à quatre mois de prison.

Le verdict de leur procès en appel est attendu aujourd'hui. "J'attends une décision dans la journée après l'audience" qui doit débuter vers 12h30, a indiqué leur avocat, maître Souhaib Bahri. Les féministes ont bénéficié d'une procédure accélérée. "C'est un bon signe, bien sûr, cette procédure très rapide. Je suis optimiste mais je veux attendre le jugement, la première fois j'étais optimiste aussi, mais on a eu un choc lorsque le juge a prononcé la peine de quatre mois et un jour de prison ferme", a-t-il souligné.

Si la France, l'Allemagne et l'Union européenne ont regretté la sévérité de la peine, ces jeunes femmes risquent deux ans de prison pour profanation de sépulture et six mois pour atteinte aux bonnes moeurs.


En France, ces anarcho-révolutionnaires n'ont rien à craindre du pouvoir 


Interpellées, elles n'ont jamais été poursuivies: 
les plaignants potentiels renoncent avec la conviction que les juges de Christiane Taubira leur donneront tort.



Avec le soutien d'une certaine presse, elles se font passer pour des victimes, mais mettent en scène leurs happenings contre les religions, la prostitution ou l'homophobie mais pour l'homosexualité, bombes lacrymo au poing et vociférations gutturales, avec le concours de compères jouant la violence machiste.

"
Fin août, j'ai tronçonné une croix en soutien aux Pussy Riot, condamnées pour avoir chanté une prière punk anti-Poutine dans une église. 




C'était à Kiev, sous l'oeil des caméras ! Depuis, je suis recherchée par les autorités ukrainiennes", explique Inna, autoproclamée "sextremiste". 



Ces sorcières de Salem jouissent de protections au plus haut niveau de l'Etat

Anne Hidalgo leur assure le couvert dans le 18e arrondissement de Paris, tandis que le maire PS de Paris Bertrand Delanoë condamne leur profanation de la cahédrale Notre-Dame de Paris.

Soutien de Caroline Fourest

En revanche, Frigide Barjot fait l'objet de représailles socialistes

Le journal Le Parisien rapporte que Frigide Barjot et son mari, Basile de Koch, ont reçu mi-juin une assignation de la régie immobilière de la ville de Paris. Détenue à 80% par la ville,
la RIVP demande la résiliation du bail du logement que le couple occupe depuis les années 80. Situé dans le 15ème arrondissement de Paris, près du Champ-de-Mars, l'appartement, qui comporte une grande terrasse, avait été en fait agrandi en 2001 : à l'époque, Bertrand Delanoë était déjà maire PS de Paris et Frigide et son mari, qui étaient voisins, avaient obtenu l'autorisation de construire un escalier pour relier leurs deux logements.

En revanche, un opposant au mariage pour tous est actuellement détenu dans les geoles hollandiennes

Emprisonné par Valls  et Taubira depuis mercredi 19 juin pour ...rébellionNicolas Bernard-Buss a été condamné à deux mois de prison ferme et incarcéré  à Fleury-Mérogis à sa sortie du tribunal. Ce prisonnier politique n'est pas un anarcho-révolutionnaire et en tant que sympathisant pacifique de la Manif pour tous, il  s'est vu accuser de "rébellion" envers les forces de l'ordre, "fourniture d'identité imaginaire" et "refus de se soumettre à un relevé d'empreinte". 
Cette victime de la répression est en passe de devenir un martyr  
"Lamentable", "délirant", pouvait-on lire dans les multiples messages d'opposants au mariage homosexuel. Estimant qu'il s'agit "d'une décision de justice excessivement lourde au regard de son jeune âge, de son absence d'antécédent sérieux et du caractère éminemment politique du contexte", 
la Manif pour tous appelle à un rassemblement 
vendredi à 18 heures devant Sciences Po. 

D'autres soutiens commençaient à récolter des dons en argent pour son avocat et sa famille.
Le 21 juin, à la mi-journée

Le jeune homme avait participé dimanche à un rassemblement devant les locaux de M6, alors que François Hollande y était interviewé. Il était ensuite parti en compagnie de 100 à 200 opposants au mariage gay pour manifester sur les Champs-Élysées. Le rassemblement étant illicite, des policiers cherchent à interpeller Nicolas Bernard-Buss mais ce dernier s'enfuit en courant. De fait, le jeune homme avait été repéré par les forces de l'ordre depuis quelques semaines. Il était déjà passé en comparution immédiate devant le tribunal correctionnel de Paris le 28 mai dernier pour "entrave à la circulation", "identité imaginaire" et "non dispersion après sommation" à la fin d'une manifestation. Il avait alors été condamné à payer une amende de 200 euros, mais le parquet avait fait appel.
Une course-poursuite s'est engagée dimanche soir entre le jeune homme et un policier et s'acheva au premier étage d'une pizzeria sur les Champs-Élysées. "On a entendu des hurlements. Il y a eu une échauffourée, plusieurs clients ont été bousculés et choqués", raconte un responsable du restaurant se souvenant que le jeune homme criait "Hollande, démission!"  

Son avocat Benoît Gruau ne "comprend pas" que son client ait écopé d'une peine d'une telle dureté
et surtout d'un mandat de dépôt à l'issue de l'audience. Un mandat de dépôt "effectivement sévère pour un primodélinquant, commente un magistrat expérimenté. 
Ses parents - un photographe et une journaliste - qui vivent à Angers sont profondément choqués. Croyante, sa mère avait vécu avec un certain soulagement le militantisme de son fils au sein de la Manif pour tous, "Il semblait avoir trouvé une deuxième famille", nous explique-t-on.
Bachelier brillant et étudiant en école d'ingénieur et en licence d'histoire, il avait réussi il y a quelques années le concours d'entrée à Sciences Po mais n'en suivait pas les cours.  Sur sa page Facebook, abondamment fournie en messages anti-mariage gay, il fustige Luc Chatel pour avoir affirmé qu'il appliquerait la loi Taubira. Et il renvoie dos-à-dos l'UMP et le PS au sujet de la "déshumanisation ambiante". "En République française, l'argent est roi, Dieu rejeté, et le peuple soumis", écrit-il encore.

Me Frédéric Pichon : "Le jeune Nicolas dormira ce soir à côté des dealers, des assassins et des violeurs pour lesquels Christiane Taubira estime que la prison n’est pas la solution."


 


1 commentaire:

  1. je vous protège je vous aime toujours je te donne mon portable 0669712019 7 rue clémeau sarreguemines 57200

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