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lundi 4 février 2013

Hollande est rentré du Mali sans les otages français

Les otages français enlevés au Niger probablement vivants dans le nord du Mali

Hollande, si proche des Maliens, mais si loin des otages français

Les quatre otages français enlevés au Niger en septembre 2010 "sont vivants" et restent privés de liberté a affirmé dimanche le président nigérien.
"Les informations que l'on a, c'est qu'ils sont vivants. Probablement, ils sont au Nord Mali, vers la frontière avec l'Algérie dans les montagnes des Ifoghas, selon les informations dont on dispose actuellement", a déclaré Mahamadou Issoufou, le chef de l'Etat nigérien sur TV5 Monde.

Hollande monopolisa les forces armées françaises à son seul profit
Les otages enlevés en 2010 à Arlit, un site d'extraction d'uranium dans le nord du Niger attendent toujours. Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) avait revendiqué leur enlèvement.

Cinq Français, un Togolais et un Malgache, avaient été pris en otage le 16 septembre 2010. Parmi ces collaborateurs du groupe nucléaire public Areva et de son sous-traitant Satom, la Française Françoise Larribe, malade, un Malgache et un Togolais ont été relâchés le 24 février 2011.

Les Français Thierry Dol, Daniel Larribe, Pierre Legrand et Marc Féret restent détenus.

Ils ne sont pas à encore deux ans près !
Les forces françaises au Mali en sont désormais "tout près"
"Le moment est venu de libérer les otages" enlevés au Sahel, a estimé le président François Hollande, samedi à Bamako. Au nombre de sept, ajoutant que .

Le président nigérien a dit avoir le sentiment "que ces jihadistes ne sont pas des musulmans", en réponse à une question de journaliste sur les terroristes armés qui occupent le nord du Mali depuis plusieurs mois malgré l'intervention militaire française du 11 janvier dernier.

"Ce sont des trafiquants de drogue, des trafiquants d'armes, pour la plupart des repris de justice. L'islam prêche la modération et n'est pas pour l'extrémisme. Ils (les jihadistes) sont en train de dévoyer l'islam, de l'instrumentaliser, de salir notre religion", a estimé le président Issoufou, feignant de croire qu'un musulman ne peut être trafiquant et voyou.

Le président nigérien a également remercié le président François Hollande pour avoir décidé l'intervention française au Mali. 
"Si la France n'était pas intervenue, aujourd'hui les jihadistes seraient à Bamako. Jamais, jamais une intervention étrangère en Afrique n'a été aussi populaire que celle de la France au Mali", a-t-il dit.


Le soutien occidental au "printemps arabe" avait été pareillement loué, mais nous savons quoi en penser aujourdhui, de la Tunisie du président Moncef Marzouki, sous la surveillance de son premier ministre, ancien secrétaire général du parti islamiste Ennahda, à l'Egypte des Frères musulmans de M. Morsi, en passant par la Lybie les autorités s'inquiètent d'appels à une "deuxième révolution..."


Au Mali, le  retour des terroristes islamistes à Bamako n'est pas non plus à exclure. 
Hollande, le "sauveur" du Mali, a failli sauver les otages français.

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