POUR

LA &nbsp LIBERTE &nbsp D' EXPRESSION

Free speech offers latitude but not necessarily license

jeudi 29 novembre 2012

Amnesty l'a belle de demander l'arrêt des expulsions de Rom

L'organisation supra-nationale n'a pas à gérer ses exigences sur les états


Changement de vocabulaire à gauche qui poursuit les expulsions



le PCF les chassait au bulldozer
et
les bulldozers communistes 
contre des immigrés



Les raccompagnements forcés se poursuivent en France, en violation du droit international, estime jeudi Amnesty International, qui demande leur arrêt immédiat.

Dans un rapport intitulé "Chassés de toutes parts", 
l'organisation non gouvernementale, qui a réalisé plusieurs pseudo-enquêtes de terrain en Ile-de-France où vivent près de la moitié des 15.000 Rom de France, relève notamment un manque de consultation et d'information des populations concernées avant leur expulsion (sic ! ), un délai de préavis insuffisant et des difficultés d'accès aux recours.

Selon des estimations d'associations citées par Amnesty International, bien que partisanes, plus de 9.000 Rom ont été renvoyés dans leurs pays au cours des trois premiers trimestres de 2012, un pic ayant été atteint durant l'été, avec 2.300 expulsions en juillet et août, sous le gouvernement socialo-écolo.
"Jusqu'ici, en dépit des propos encourageants du nouveau gouvernement et de la publication de la circulaire [du 26 août, qui donne des instructions au sujet des expulsions], les expulsions forcées ont continué à se succéder sous le gouvernement actuel", écrit Amnesty International dans son rapport.

Bien qu'elle ne cite pas les chiffres du ministère de l'Intérieur, "Amnesty International salue les propos et l'approche du gouvernement actuel, mais reste préoccupée par le fait que les expulsions forcées se poursuivent à travers le pays, en violation des obligations incombant à la France en vertu du droit international", ajoute l'organisation supra-nationale basée au Canada, demandant l'arrêt immédiat des expulsions forcées et la modification des lois françaises pour les mettre en adéquation avec le droit international.

Une ONG non démocratique tente d'imposer sa loi sur le monde 


Les ONG n'ont aucune légitimité. Si elles ressemblent à un État fédéral, mais les organisations supranationales ne possèdent pas la représentativité d'un État:  les États membres sont souverains et l'organisation ne constitue pas un État. Certains assimilent abusivement Amnesty International à l'Union Européenne qui, elle, possède un Parlement européen (PE) élu au suffrage universel direct.

A la différencie des organisations internationales, les décisions d'Amnesty International sont prises par des institutions propres à l'organisation, et non par la réunion de chefs d'État ou de leurs représentants. 
A la différence des assemblées démocratiquement élues, les ONG ne représentent qu'elles-mêmes et surtout pas les peuples souverains qu'elles ne consultent pas.

L'ONG rappelle que dans un courrier adressé au collectif RomEurope pendant la campagne présidentielle, François Hollande avait dit "souhaiter" que des solutions alternatives soient proposées aux populations concernées, lorsqu'un campement insalubre est démantelé...


Amnesty n'a aucun droit à dicter sa loi  

Organisation supranationale dont le secrétaire général, Salil Shetty, est un compatriote de Lakshmi Mittal, la bête noire d'Arnaud Montebourg, Amnesty demande également que les démantèlements soient accompagnés d'offres de logement de remplacement. 

"Les expulsions forcées ne règlent pas le problème mais l'exacerbent", a estimé mercredi lors d'une conférence de presse Marion Cadet, "chercheuse-maison" à Amnesty International. La chercheuse auto-proclamée légitime l'occupation du sol par des clandestins par le fait qu'une fois expulsés, les Rom se réinstallent tout aussi illégalement sur d'autres terrains, dans un habitat encore plus précaire.

Plutôt que de harceler les pays d'origine, Amnesty empoisonne les pays investis
Les expulsions à répétition (de populations pourtant identifiées, essentiellement d'origine roumaine ou bulgare) génèrent par ailleurs des problèmes de santé et de scolarisation, ont souligné mercredi plusieurs "acteurs de terrain", termes choisis pour dissimuler que ce sont des militants partisans anonymes sans aucune légitimité
Ces problèmes sont néanmoins gérés par la CAF ou l'URSSAF, comme la couverture maladie universelle, CMU permettant l'accès au soin, le remboursement des soins, prestations et médicaments à toute personne résidant en France, ainsi que par la Croix-Rouge française, le Secours catholique ou les Restos du Coeur soutenus par la générosité publique et  les salariés Français.

Des ONG en réseaux
"L'expulsion sans préparation, et souvent faite dans l'urgence, aboutit à des ruptures de soin", a ainsi témoigné Martin Duteurtre, d'une équipe de soins mobile de Médecins du monde, une autre ONG radicale, d'obédience marxiste, dissidente de Médecins sans Frontières, socialiste.


RESF et le Snuipp (FSU) sont de la partie
Citée par les media, Véronique Decker, directrice d'une école à Bobigny où sont scolarisés une trentaine d'enfants issus de communautés rom roumaines et bulgares, a de son côté fait part de "l'effondrement psychique", voire de "l'abandon" des enfants "habitués de l'expulsion". "Nous créons des enfants qui ne trouvent pas leur place", a-t-elle dit. 
Or, ce que ne dit encore pas la presse partisane, c'est que Véronique Decker, n'est pas une directrice d'école anodine, mais une "désobéisseuse" (voir libellé) en pédagogie Freinet, qu'elle est membre du Collectif national de résistance à Base élèves (CNRBE, qui soutient 4 militants de Tours accusés d'avoir diffamé publiquement l'administration) et appartient au réseau des enseignants du 1er degré en résistance pédagogique. Avec la complicité de la municipalité communiste de Bobigny dont le maire est Catherine Peyge, une enseignante.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Vous pouvez ENTRER un COMMENTAIRE (il sera modéré):