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samedi 1 septembre 2012

Le journal Libération, dépité par Hollande, se met en panne

Panne informatique géante: pas de journal ni d'édition en ligne


Le réseau informatique du journal déprime


Victime depuis vendredi soir d'une panne  informatique "majeure", le journal socialiste a envoyé ses informaticiens sur le pont mais, samedi après-midi, ils n'avaient toujours pas trouvé la cause de la panne qui a empêché les éditions papier et informatique de paraître ce samedi.


Mimétisme avec le gouvernement Ayrault
"Il s'agit d'une panne réseau, les machines ne communiquent plus entre elles", a précisé Sylvain Bourmeau, directeur adjoint de la rédaction, déprimée par l'ampleur de sa tâche  de soutien au pouvoir... 
"On travaille dessus, on ne sait toujours pas ce qui est arrivé", a-t-il ajouté. "Pour travailler dimanche sur le journal de lundi, on envisage des plans de secours informatiques", a encore dit Sylvain Bourmeau.

La panne informatique, sans précédent dans l'histoire du journal, s'est produite vendredi vers 21h00. L'édition numérique de samedi n'a pas pu être mise en ligne mais le site du journal, liberation.fr , fonctionne toujours, notamment avec des dépêches: l'AFP et Reuters font ouvertement le boulot.
  






C'est donc pas
Laurent Mouchard-Joffrin ?





Concertation ?

Les ministres de Hollande ne travaillent plus en réseau non plus 


Les Rom buguent les rapports entre Valls et Duflot. 

Les interférences politiques de Matthieu Pigasse, patron de la banque privée Lazard, dans la Banque populaire d'investissement (BPI) et dans la presse avec le recrutement d'Audrey Pulvar, la concubine de Montebourg, créent une panne de réseau entre Moscovici et Montebourg qui ne communiquent plus entre eux.
Le ministre du Redressement productif Arnaud Montebourg a regretté vendredi que Bercy ait confié un mandat à la banque d’affaires Lazard France pour conseiller le gouvernement pour la création de la future BPI.

L’UMP a appelé le gouvernement à dissiper les soupçons de conflit d’intérêts après ce choix, alors que Matthieu Pigasse a été un soutien financier public de François Hollande dans sa course à la présidence de la République.

4 commentaires:

  1. Tout ceci pour en revenir à des conclusions déjà données :

    ont été élu à la tête de notre pays

    UN PANIER DE CRABES D'UNE ESPÈCE RÉPANDUE ET CONNUE POUR SES VILENIES, SES MENSONGES, SES MANIGANCES, SES TRAFICS, EN TOUT GENRES, AVEC UN CULOT MONSTRE
    DANS LE DÉNIE de la vérité ET LE MENSONGE sans aucune gêne.

    " On voit la paille dans l'oeil de l'autre mais pas la poutre que l'on a dans son oeil "

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  2. OUI on est tous dépités et pour cause:

    Sarkozy avait une vision. Hollande navigue à vue.
    Publié le 30 août 2012 par balboa78

    François Hollande est au pouvoir depuis 3 mois. On commence à pouvoir le comparer, sur le fond, et sur la forme, à son prédécesseur, son anti-modèle, Nicolas Sarkozy.

    1 – Sur le fond

    Sarkozy avait une vision – on l’aime ou on la déteste – mais il en avait une ! Au bout d’à peine 3 mois, les mesures mises en oeuvre concrétisaient déjà cette vision, clairement présentée durant la campagne présidentielle :

    * La loi sur la récidive montrant clairement la volonté du président d’améliorer la sécurité des français,
    * La loi relative aux libertés et responsabilités des universités (appelée loi sur l’autonomie des universités) peut-être la loi la plus emblématique du quinquennat de Nicolas Sarkozy,
    * La loi TEPA (Travail, Emploi et Pouvoir d’Achat) aussi appelé « paquet fiscal » comprenant de nombreuses mesures (Défiscalisation des heures supplémentaires, allègement des droits de succession, aménagement de l’ISF, défiscalisation du salaire des étudiants, abaissement du bouclier fiscal, encadrement des parachutes dorés, RSA, etc …)

    Quelle est la vision de Hollande ? C’est bien la triste découverte que sont en train de faire beaucoup de français : il n’y a pas de vision, mis à part l’anti-sarkozisme primaire et idéologique. Quelles sont les mesures prises qui pourraient illustrer un éventuelle vision ?

    * La loi sur le harcèlement sexuel est-elle un marqueur suffisant ? Certainement pas !
    * Le vote du collectif budgétaire ne montre pas au français la direction que compte prendre Hollande !
    * Le démantèlement de tous les mesures prises par l’ancienne majorité ciblant particulièrement la loi TEPA ne peut en aucun cas être considéré comme un marqueur positif puisque Hollande s’est contenté de détruire sans proposer quelque chose à la place.
    à suivre

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  3. suite

    2 – Sur la forme

    La presse de gauche glorifie ce « président normal » qui a revisité le style présidentiel. Cette presse dénonçait l’agitation brouillonne de Nicolas Sarkozy. Elle salue une « France apaisée » depuis l’arrivée de Hollande.

    Ne revenons pas sur le haut degré de ridicule qu’a atteint la « normalitude » de ce président qui voyage en train, va lui-même à la FNAC acheter un DVD, tout a été dit là-dessus.

    Il y a d’autres différences entre les deux hommes. Sarkozy était peu sensible aux sondages. Il traçait la route et faisait l’actualité, trop sans doute. La presse, au moins au début du septennat avait du mal à le suivre. On l’attendait sur la récidive, il était déjà passé à la loi TEPA !

    Hollande, c’est pas du tout ça ! Depuis que la grande conférence sociale a lancé ses comités théodule, on a l’impression qu’il a délégué et qu’il est en roue libre. Il laisse ses ministres aller au front, voire se contredire entre eux :

    * Valls le sécuritaire contre Taubira la laxiste,
    * Montebourg le provocateur contre Duflot sur l’avenir de la filière nucléaire.

    L’été de roi fainéant du président et de son premier ministre, alors qu’à la veille des élections, ils nous décrivaient tous les deux la situation apocalyptique de la France, a laissé des traces dans l’opinion.

    La chute de 11 points de la cote de popularité de Hollande a sifflé la fin de la récréation. C’est ainsi qu’on vient d’assister à la longue procession des ministres repentants à l’université d’été du Medef. Jean-Marc Ayrault, oubliant toutes les mesures qu’il a prises et qui vont alourdir les charges des entreprises, s’est lancé dans une véritable opération de séduction du patronat. Les applaudissements furent, parait-il, peu nourris !
    à suivre

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  4. suite et fin

    C’est promis: le gouvernement

    * ne désignera plus la finance comme l’ennemi numéro 1 et les patrons comme seulement des profiteurs de parachutes dorés,
    * écoutera désormais les entrepreneurs,
    * et fera tout pour améliorer la compétitivité des entreprises !

    Cette mascarade a très vite été dénoncée par le Front de Gauche et la CGT qui ont demandé à Hollande de choisir son camp: « Bernard Thibault exige du gouvernement qu’il tranche entre les revendications contradictoires du patronat et celles des salariés« .

    Bref, à la vision et aux actions de Sarkozy – parfois brouillonnes , je le concède, mais allant toujours dans la direction de cette vision, a succédé une navigation à vue. Hollande laisse le bateau France dériver au gré des vents, mais au moindre coup de vent dans les sondages, il s’agite et vire de bord.

    Tout cela n’aura qu’un temps. les dernières cartouches de l’anti-sarkozisme ont toutes été tirées et le gouvernement est devant sa feuille blanche …

    Mais ce sont les Français qui s’angoissent … "

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