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jeudi 8 mars 2012

Journée de la femme: en 2007, la concubine de Hollande n'a pas voté Royal

Trierweiler s'est abstenue en 2007



François, parano, enfariné et sous écoute,
sEGOl'haine, coquecigrue inaudible,
et Valérie plus verte que rose !




Valérie Trierweiler, compagne de François Hollande, a confié s'être abstenue le 6 mai 2007
au second tour de la présidentielle qui opposait Nicolas Sarkozy et Désirdavenir Royal.

Dans le livre "Valérie, Carla, Cécilia, Bernadette et les autres" de Constance Vergara, journaliste de ... Gala, la journaliste de Paris-Match et Direct 8 raconte comment elle a vécu cette période particulière où elle était la compagne du premier secrétaire François Hollande, séparé de la candidate à la présidentielle.

" Dans l'isoloir, ce 6 mai 2007, pour qui la femme amoureuse a-t-elle voté ?" demande l'auteure. " Je ne veux pas mentir. Je ne suis pas allée voter ce jour-là, je ne le pouvais pas, ne le voulais pas. Comme si je ne me sentais pas concernée. Ou trop concernée justement. C'était douloureux ", répond Valérie Trierweiler.
"Chacun comprendra, j'espère en tous cas. J'avais voté pour Dominique Voynet (les Verts) au premier tour", poursuit cette journaliste de 47 ans, divorcée et mère de trois adolescents. Et d'ajouter: " Toute ma vie, j'ai voté à gauche, sauf pour le deuxième tour de 2002, où j'ai glissé mon bulletin pour faire barrage au Front national. Ce jour-là, j'ai choisi l'option républicaine."

Et "la fraise des bois", a-t-elle voté pour son ex ?

Certains s'interrogeraient. Mais si !
C'était d'ailleurs en 2007: Hollande, apparatchik "normal" qui doit seulement sa carrière aux circonstances ou grand fauve de la politique ? Laurent Fabius, qui assura en 2002 qu'il se retirait de la politique, leur apporta la réponse : "notre sympathique " fraise des bois" ...
Jamais, il est vrai, Fabius n'avait imaginé - fut-ce une seconde - que ce " brave " Hollande, venu des rivages de la démocratie-chrétienne, longtemps adulateur de Jacques Delors et expert dans l'art de la synthèse, pourrait porter un jour les couleurs de la gauche, et s'imposer comme le lointain successeur possible de François Mitterrand.

On peut, en effet, imaginer que François Hollande, qui n'a jamais été ministre, choisira de préférence, s'il est élu, un homme ou une femme d'expérience. D'où les deux noms qui circulent : celui de Martine Aubry, bien sûr, qui en rêve et se tient prête, celui aussi de Fabius, qui en rêve encore 28 ans plus tard, et se tient prêt. Mais, dira-t-on, quelle idée aurait Hollande de choisir pour Matignon une femme qui l'a traité de "gauche molle " ou un homme qui l'avait surnommé " fraise des bois " ?

Le parti socialiste a fait un grand pas en avant

Avec Hollande, il est passé du temps des cerises au temps des fraises.
Que l'on sucre ?

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