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mercredi 4 février 2009

« Couacs » à la Maison Blanche : le dieu Obama ‘a foiré’ par trois fois!

Aveu d'égarement humain sur la nomination de son secrétaire à la Santé

Grosse 'foirade' de Barack Hussein Obama

«Je pense que cela a été une erreur. J'ai foiré. J'en assume la responsabilité et nous allons faire en sorte de régler le problème pour être sûrs que cela ne se reproduira pas», a t-il déclaré à la chaîne CNN. Faute avouée est à demi pardonnée. Et ce n’est pas si commun en France chez les socialistes qui conserve la morale du « responsable mais pas coupable » !

Barack Hussein Obama s’était déjà planté

En quelques heures, et seulement deux semaines après son investiture, le divin démocrate, Barrack Hussein Obama, a ainsi vu se bousculer les questions sur sa faculté à tenir sa promesse de gouverner autrement. Dévaluation du temps de grâce de 100 jours tombé à 15…

  • BHO avait déjà rencontré quelques déboires dans la nomination de son secrétaire au Trésor. Timothy Geithner, avait déjà, lui aussi, été contesté pour des démêlés avec …le fisc. M. Geithner a finalement été confirmé le 26 janvier.
  • Plus tôt dans la journée, le président américain avait annoncé dans un communiqué que celui qu'il avait nommé M. Daschle secrétaire à la Santé, mais que celui-ci lui avait demandé d'y renoncer à cause de ses ennuis …avec le fisc. M. Daschle était au coeur d'une controverse sur des broutilles d’un montant de plus de 100.000 dollars d'arriérés d'impôts qu'il a acquittés il y a …quelques semaines seulement.
  • Peu auparavant, c'était Nancy Killefer, celle que Barack Obama avait judicieusement choisie pour tailler dans les dépenses superflues de l'Etat et pour veiller au bon fonctionnement des programmes fédéraux, avait annoncé se désister, elle aussi à cause de démêlés … avec l'administration fiscale. Il ne faut pas croire que la réaction de Mme Killefer est spontanée, car elle s'est en fait retrouvée en butte à des informations sur des impôts qu'elle n'aurait pas payés pour une employée de maison depuis que M. Obama l'a choisie début janvier.

    Ca fait désordre ! Cela rappelle irrésistiblement quelqu’un, mais toute comparaison avec l’état avancé de délabrement moral et social de Sa Cynique Majesté Royal serait toutefois fortuit.


    Le mythe Obama est bel et bien mité

    Tout en insistant pour penser qu’il n’a pas accumulé des erreurs de jugement et que M. Daschle était le mieux à même de réformer le système de santé américain (une priorité pour l'opinion), B.-H. Obama a reconnu qu'après avoir fait campagne sur le thème du changement, il ne pouvait donner l'impression d'appliquer «deux poids et deux mesures, pour les puissants d'un côté, et de l'autre pour les gens ordinaires qui travaillent tous les jours et qui payent leurs impôts»...

    Des affaires qui détournent l'attention !

    Ces affaires paraissaient remettre en cause la capacité de M. Obama à observer les critères les plus rigoureux jamais instaurés dans le choix de ses collaborateurs.

    Ces renoncements successifs ont aussi éclipsé une grande opération de Barrack Hussein Obama auprès du public pour faire passer au plus vite un gigantesque plan censé relancer une économie paraissant souffrir chaque jour davantage. Selon le porte-parole de BHO, Robert Gibbs, l'administration avait intérêt à ce que l'abcès Daschle soit crevé rapidement pour ne pas détourner l'attention de son action divine. Le message de ce dieu vivant aux hommes face à la crise économique était jusqu’ici le suivant : «Nous devons à présent aller de l'avant, avec notre projet de relever l'économie et de remettre les gens au travail», a dit B.-H. Obama. Le disciple servile de Sa Cynique Majesté Royal est tout aussi clairement une émule de la mule Aubry et de ses 35 heures. Mais que feraient les Américians sans ces drôlesses ?

    Mais ça coince…

    Après une adoption par la Chambre des Représentants, le Sénat a commencé le débat sur sa version du plan, proche de 900 milliards de dollars. Les deux chambres devront ensuite trouver un compromis. Or, la minorité républicaine du Sénat a haussé le ton dimanche, menaçant de faire obstruction au gigantesque plan de relance de 819 milliards de dollars du président américain, sans une profonde modification du niveau des réductions d'impôts et des dépenses publiques. M. Obama veut obtenir le soutien le plus large possible. Mais ses adversaires républicains, certes minoritaires,
    dénoncent le coût du projet alors que le déficit menace déjà de dépasser les 1.000 milliards de dollars.

    Le gigantisme n’impressionne plus que la gauche française ?
    La consommation et les revenus des ménages américains ont continué de baisser en décembre, montrent les statistiques publiées par le département du Commerce.
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