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mardi 20 février 2007

Villepin : Royal est une attrape-tout.

Petite leçon de courage politique
et de pudeur à la candidate socialiste.
Marie-sEGOlène Royal, l’impudique candidate socialiste, s’est enfin décidée à passer son ‘grand oral’ dans l’émission 'J'ai une question à vous poser', animée par Patrick Poivre d’Arvor sur TF1, lundi 19, après tous les candidats qu'elle ne méprise pas et malgré ses appréhensions, mais bénéficiant ainsi du privilège de passer 'selon son bon plaisir'. C'était donc avant les candidats subsidiaires: Bayrou, Bové, Laguiller et Voynet. La chaîne soupçonnée de toutes les vilenies lui aura donc accordé ce privilège royal, dont le PS –sans aucun doute– lui saura gré, en cessant les attaques permanentes, manifestement injustifiées désormais.
Elle en a profité pour se déclarer sereine et prête… Ses états d’âme nous importeraient-ils à ce point ? Elle était en effet placée dans les meilleures conditions possibles et donc les plus avantageuses. Autant dire qu’elle obtient ce qu’elle veut comme il arrive aux femmes capricieuses et futiles. Mais tous ces avantages qu’elle s’est faite octroyer d’abord par son ex-concubin au PS, puis par les sondeurs et les médias, soulignent au contraire sa fragilité et son impréparation, que les passe-droits qui lui sont faits ne réussissent pas même à masquer. Si bien que l’inquiétude grandit et atteint l’électorat qui sent bien qu’elle n’est ni sereine, ni prête à assumer les fonctions les plus élevées de l’Etat.
Alors ceux qui savent mieux par expérience expriment haut et fort ce que chacun pressent.
Qui nous met donc ici en garde ?
"Gouverner, c'est bien sûr répondre (aux) préoccupations quotidiennes (des Français), faire preuve d'empathie, faire preuve d'humanité, mais c'est aussi être capable de prendre des décisions difficiles", a ainsi été lancé sur RTL au lendemain de la prestation de la candidate socialiste sur TF1.
"Or, on entend beaucoup les décisions faciles. C'est toujours plus facile de dire oui, d'augmenter les prestations, d'accroître les dépenses. C'est plus difficile d'assumer les responsabilités collectives d'une nation", a souligné ce personnage.
"Etre président de la République, c'est diriger une nation, c'est la mener, c'est l'entraîner, lui donner un cap. J'attends que la campagne prenne aussi cette hauteur-là pour dire aux Français où nous allons véritablement dans cinq ans", a poursuivi …
le Premier ministre, Dominique de Villepin.

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